Notre-dame-de-lourde-créateur-francois-partie-01 et 2

Notre-dame-de-lourde-créateur-francois-partie-01 et  2

jésus dit Ce qui fut écrit sur le Sinaï doit être observé jusqu’à la fin des temps


Jésus décrit l’enfer: un tourment de feu, de gel, de ténèbres.

La porte du royaume infâme de Satan sera fermée, boulonnée par mes anges pour toujours, pour toujours, pour toujours, un toujours dont le nombre d’années est sans nombre

Jésus décrit l’enfer: un tourment de feu, de gel, de ténèbres.

Jésus dit : "Une fois, je t’ai fait voir le Monstre des abîmes . Je vais aujourd’hui te parler de son royaume. Je ne peux pas toujours te garder au paradis. Souviens-toi que tu as pour mission de rappeler certaines vérités à tes frères qui les ont trop oubliées. Ce sont ces oublis, qui sont en réalité du mépris pour les vérités éternelles, qui sont la cause de tant de maux pour les hommes.

Écris donc cette page pénible. Ensuite, tu seras réconfortée.  Écris en regardant ton Jésus, qui est mort sur la croix dans des tourments tels qu’ils sont comparables à ceux de l’enfer, et qui a voulu cette mort pour sauver les hommes de la Mort.

Les hommes d’aujourd’hui ne croient plus à l’existence de l’enfer. Ils se sont échafaudé un au-delà à leur convenance et tel qu’il soit moins terrorisant pour leur conscience, qui mérite bien des châtiments. Disciples plus ou moins fidèles de l’Esprit du Mal, ils savent bien que leur conscience reculerait devant certains méfaits, s’ils croyaient réellement à l’enfer comme la foi l’enseigne. Ils savent que leur conscience, une fois leur méfait commis, ferait retour sur elle-même et trouverait le repentir dans le remords ou dans la peur et, grâce au repentir, la voie pour revenir à moi.

Leur malice, instruite pas Satan dont ils sont les serviteurs ou les esclaves (suivant leur adhésion aux volontés et aux suggestions du Malin) ne veut pas de tels reculs et de tels retours sur soi. Par conséquent, l’homme abandonne la foi à l’enfer tel qu’il est réellement et s’en fabrique un autre — si du moins il s’en fabrique un —, qui n’est en fait qu’une pause pour prendre son élan vers d’autres élévations futures.

 Il va si loin dans cette opinion qu’il croit de façon sacrilège que le plus grand de tous les pécheurs de l’humanité, le fils bien-aimé de Satan, celui qui était voleur comme le dit l’Évangile, concupiscent et avide de gloire humaine comme je le dis moi, Judas Iscariote, a pu être sauvé et parvenir jusqu'à moi en passant par des phases successives, alors que, poussé par la triple concupiscence, il est devenu marchand du Fils de Dieu et que, moyennant trente pièces et un baiser comme signe — une valeur monétaire dérisoire et une valeur affective infinie —, il m’a livré aux mains des bourreaux.

Non. S’il fut le sacrilège par excellence, moi je ne le suis pas. S’il fut l’injuste par excellence, moi je ne le suis pas. S’il fut celui qui a répandu dédaigneusement mon Sang, moi je ne le suis pas. Pardonner à Judas serait un sacrilège envers ma divinité qu’il a trahie, ce serait une injustice envers tous les autres hommes, toujours moins coupables que lui et qui sont pourtant punis pour leurs péchés, ce serait mépriser mon sang, enfin ce serait ne pas tenir compte de mes lois.

J’ai dit, moi qui suis le Dieu un et trine, que celui qui est destiné à l’enfer l’endure pour l’éternité car aucune nouvelle résurrection ne provient de cette mort-là.
 J’ai dit que ce feu est éternel et que tous les artisans de scandales et d’iniquités s’y retrouveront. Ne croyez pas non plus que ce sera au moment de la fin du monde. Non, car au contraire, la terrible révision de vie sera suivie de cette demeure, plus impitoyable, de larmes et de tourments : en effet, ce qui est encore permis à ses hôtes comme divertissement infernal — le pouvoir de nuire aux vivants et la vue de nouveaux damnés être précipités dans l’abîme —
En comparaison, si les grains de sable de tous les océans de la terre devenaient des années, ils formeraient moins d’une journée de mon éternité impossible à mesurer, faite de lumière et de gloire en haut pour les bienheureux, mais de ténèbres et d’horreur pour les maudits dans les profondeurs.

 Je t’ai déjà dit que le purgatoire est un feu d’amour. Mais l’enfer est un feu de sévérité.

Le purgatoire est un lieu dans lequel vous expiez vos manques d’amour pour votre Seigneur Dieu en pensant à lui, dont l’Essence a brillé devant vous au moment de votre jugement particulier et vous a remplis du désir de la posséder. Par l’amour, vous conquérez l’Amour et, en passant par des degrés croissants de charité enflammée, vous lavez vos vêtements jusqu’à les rendre purs et lumineux pour entrer dans le royaume de la Lumière, dont je t’ai montré les splendeurs il y a quelques jours. 

L’enfer est un lieu où la pensée de Dieu, le souvenir de Dieu entrevu lors du jugement particulier n’est pas, comme pour l’âme du purgatoire, un saint désir, une nostalgie déchirante mais pleine d’espoir, une espérance faite d’attente tranquille, de paix assurée qui atteindra la perfection quand elle sera devenue conquête de Dieu, mais qui donne déjà à l’âme du purgatoire une joyeuse activité purifiante, puisque chaque souffrance, chaque instant de souffrance l’approche de Dieu, son amour. En enfer la pensée de Dieu est remords, ressentiment, damnation, haine. Haine contre Satan, haine contre les hommes, haine contre soi-même.

Après avoir, pendant leur vie, adoré Satan à ma place, maintenant qu’ils le possèdent et en voient le véritable aspect, qui n’est plus caché sous le sourire ensorcelant de la chair, sous l’éclat lumineux de l’or, sous le signe puissant de la suprématie, ils le haïssent pour avoir causé leurs tourments.

Après avoir oublié leur dignité d’enfants de Dieu au point d’adorer les hommes jusqu’à devenir des assassins, des voleurs, des escrocs, des marchands d’immondices pour eux-mêmes, maintenant qu’ils retrouvent les patrons pour lesquels ils ont tué, volé, escroqué, vendu leur propre honneur comme celui de tant de créatures malheureuses, faibles, sans défense, en se faisant l’instrument d’un vice que les animaux n’en connaissent pas — la luxure, cet attribut de l’homme empoisonné par Satan —, maintenant donc ils les haïssent pour avoir provoqué leurs tourments.



Le mot "Haine" recouvre ce royaume immenseLe mot "Haine" recouvre ce royaume immense; il rugit au milieu de ces flammes; il hurle sous les ricanements des démons; il sanglote et crie au milieu des lamentations des damnés; il résonne, résonne, résonne, comme une cloche qui sonne éternellement le tocsin; il retentit comme un buccin éternel; il remplit chaque recoin de cette prison; il est en lui-même un tourment car, chaque fois qu’on l’entend, il ranime le souvenir de l’Amour perdu à jamais, le remords d’avoir voulu le perdre et la rage de ne plus jamais pouvoir le revoir.


Dans le feu, les flammes singent les spectres de ce qu’ils ont adoré pendant leur vie, les passions se peignent en ardents coups de pinceau sous leurs aspects les plus appétissants et elles crient, crient leur mémento  : "Tu as voulu le feu des passions. Reçois maintenant le feu allumé par Dieu, dont tu as tourné en dérision le saint Feu."

Le feu répond au feu. Au paradis, il est feu d’amour parfait. Au purgatoire, il est feu d’amour purificateur. En enfer, il est feu d’amour offensé. Puisque les élus ont aimé à la perfection, l’Amour se donne à eux avec toute sa perfection. Puisque les âmes du purgatoire ont aimé tièdement, l’Amour devient flamme pour les amener à la perfection. Puisque les maudits ont brûlé de tous les feux, sauf du Feu de Dieu, le Feu de la colère de Dieu les brûle pour l’éternité. Or au sein de ce feu se trouve aussi un froid glacé.

Oh ! Vous ne pouvez vous imaginer ce qu’est l’enfer. Prenez tout ce qui tourmente l’homme sur terre : le feu, les flammes, le gel, les eaux qui submergent, la faim, le sommeil, la soif, les blessures, les maladies, les plaies, la mort... Additionnez-les et multipliez ce total des millions de fois : vous n’aurez qu’une pâle image de cette terrible vérité.


Un froid sidéral se mêlera à une chaleur insoutenable. Les damnés ont brûlé de tous les feux humains mais n’auront eu qu’une vie spirituelle glacée pour leur Seigneur Dieu. C’est donc le gel qui les attend pour les congeler après que le feu les aura salés comme du poisson mis à rôtir sur une flamme. Le fait de passer de la chaleur brûlante qui fait fondre au froid glacé qui condense est un tourment de plus.

Oh ! Ce n’est pas là un langage métaphorique, car Dieu peut faire en sorte que les âmes, lourdes des fautes qu’elles ont commises, aient une sensibilité égale à celle de la chair, même avant qu’elles ne revêtent cette chair. Vous ne savez pas et ne croyez pas. Mais je vous dis, en vérité, que mieux vaudrait pour vous subir tous les tourments de mes martyrs plutôt que passer une seule heure dans les tortures de l’enfer.

Le troisième tourment, ce sera l’obscurité. Une obscurité matérielle et spirituelle. Se trouver pour toujours dans les ténèbres après avoir vu la lumière du paradis, être étreint par la Ténèbre après avoir vu la Lumière qui est Dieu ! Se débattre dans l’horreur noire où seul s’illumine, au réverbère de l’esprit brûlant, le nom du péché qui leur a valu d’être plongés dans une telle horreur ! 
Ne trouver aucun appui dans ce remue-ménage d’âmes qui se haïssent et se nuisent mutuellement, si ce n’est dans le désespoir qui les rend fous et toujours plus maudits. S’en nourrir, s’appuyer sur lui, se tuer avec lui. La mort nourrira la mort, est-il dit. [7] Le désespoir est mort et nourrira ces morts pour l’éternité.

Je vous le dis, moi qui pourtant ai créé cet endroit : quand j’y suis descendu pour tirer des limbes ceux qui attendaient ma venue, j’ai eu horreur, moi qui suis Dieu, de cette horreur, et, si une chose faite par Dieu n’était immuable parce que parfaite, j’aurais voulu le rendre moins atroce, car je suis l’Amour et j'ai souffert de cette horreur.

Or vous, vous voulez y aller !

Mes enfants, méditez ce que je vous dis
. On donne aux malades des médicaments amers, les endroits atteints par le cancer sont cautérisés et le mal excisé. Pour vous, qui êtes malades et cancéreux, ma parole est médicaments et cautère chirurgical. Ne la refusez pas. Servez-vous-en pour vous guérir. La durée de la vie n’est pas ces quelques jours passés sur la terre. La vie commence quand elle vous semble finir, et elle ne finit pas.


Faites en sorte qu’elle se déroule là où la lumière et la joie de Dieu rendent l’éternité belle, et non pas là où Satan est le bourreau éternel."


03/01/2011
0 Poster un commentaire

jésus dit Ce qui fut écrit sur le Sinaï doit être observé jusqu’à la fin des temps

Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent sur la terre que te donne le Seigneur, ton Dieu.

 

Tu ne commettras pas de meurtre.
Tu ne commettras pas d’adultère.
Tu ne témoigneras pas faussement contre ton prochain.
Tu n’auras pas de visées sur la maison de ton prochain.  Tu n’auras pas de visées ni sur la femme de ton prochain, ni sur son serviteur, sa servante, son bœuf ou son âme, ni sur rien qui appartienne à ton prochain.

Tout le peuple percevait les voix, les flamboiements, la voix du cor et la montagne fumante;  le peuple vit, il frémit et se tint à distance.  Ils dirent à Moïse :  ‘Parle-nous toi-même et nous entendrons;  mais que Dieu ne nous parle pas, ce serait notre mort!’  Moïse dit au peuple :  ‘Ne craignez pas!  Car c’est pour vous éprouver que Dieu est venu, pour que sa crainte soit sur vous et que vous ne péchiez pas.’  Et le peuple se tint à distance, mais Moïse approcha de la nuit épaisse où Dieu était. 

Le Seigneur dit à Moïse :  ‘Ainsi parleras-tu aux fils d’Israël :  Vous avez vu vous-mêmes que c’est du haut des cieux que je vous ai parlé.  Vous ne me traiterez pas comme un dieu en argent ni comme un dieu en or – vous ne vous en fabriquerez pas. 

Tu me feras un autel de terre pour y sacrifier les holocaustes et tes sacrifices de paix, ton petit et ton gros bétail;  en tout lieu où je ferai rappeler mon nom, je viendrai vers toi et je te bénirai.  Mais si tu me fais un autel de pierres, tu ne bâtiras pas en pierres de taille, car en y passant ton ciseau, tu les profanerais.  Tu ne monteras pas par des marches à mon autel, pour que ta nudité n’y soit pas découverte. »
 
« Mes enfants qui êtes rassemblés ici aujourd’hui, j’ai choisi ces versets pour rappeler à cette génération que le Père a énoncé des lois et des règles qui sont soudées jusqu’au Dernier Jour.  Aucun homme ne peut les changer ou les interpréter pour son propre bénéfice.  Ce qui fut écrit sur le Sinaï doit être observé jusqu’à la fin des temps. 

Dans toutes les générations, depuis que Moïse s’est présenté devant le peuple, il y a eu ceux qui ont rompu ouvertement ces commandements et ces règles.  Beaucoup plus les ont secrètement rompus, mais jamais comme aujourd’hui, la grande majorité des gens n’a-t-elle ouvertement exclu, comme étant non pertinents, ces commandements ainsi que Dieu lui-même.  

Ce n’est pas seulement un grand blasphème, mais c’est une voie qui, si vous continuez, mènera à votre propre autodestruction.  Jamais depuis Noé, la grande majorité de l’humanité n’a vécu de pareilles vies d’iniquité.  Même pas à l’époque de Noé, les habitants de la terre n’ont cru qu’ils n’avaient pas besoin de leurs dieux.  Ils n’ont peut-être pas connu et adoré l’Unique Vrai Dieu, Trois Fois Saint, mais ils croyaient qu’il y avait une divinité ou des divinités plus grandes qu’eux-mêmes. 

Dans cette génération, l’homme s’adore secrètement lui-même.  Il va sans doute à l’Église le dimanche, ou à la mosquée ou à la synagogue, mais dans son cœur il ne croit qu’en lui-même et qu’à ce qu’il peut acquérir pour lui-même par tous les moyens nécessaires.  Les gens se louangent mutuellement pour leur astuce et leur ruse en faisant de l’argent avec les guerres et en volant les pauvres et sans défense.  

Les gens choisissent de divorcer quand ils deviennent ennuyés de leur époux (se).  Ils déshonorent et ignorent leurs parents.  Mentir est devenu socialement acceptable et nécessaire pour bien profiter des ententes d’affaires.  Non seulement vous convoitez les biens de vos voisins, votre avidité insatiable pour de nouvelles et meilleures choses matérielles vous entraîne dans des dettes et la perte de votre réputation et éventuellement, plusieurs sont conduits au désespoir.  L’or et l’argent sont vos dieux.  Ils ont remplacé le Père céleste comme celui qui est le désir de votre cœur. 

Le vrai autel d’adoration devrait être en vous.  Sur cet autel, votre Dieu désire l’holocauste de votre amour, le remords et le repentir de vos péchés et l’offrande de vertus.  L’offrande de votre volonté faite avec joie, est ce qui est le plus agréable.  Quand vous venez adorer avec une âme remplie de la grâce, vous êtes habillés adéquatement.  Si vous venez impénitents (non repentis) et tachés de péchés, alors vous êtes indécemment découverts. 

Mes enfants qui êtes rassemblés ici, je sais comment vous essaye z très fort d’aimer votre Dieu et de lui obéir, et je vous en bénis.  Je vous demande d’aider ceux qui ont abandonné la Loi de Dieu et qui ne le reconnaissent même pas.  

Aidez-les par vos prières, vos sacrifices, et en témoignant avec amour que Dieu est réel et qu’ils ne seront heureux que lorsqu’ils reviendront vers leur Père dans les Cieux et qu’ils vivront selon sa Loi. 

 Lorsque Mes commandements sont brisés, (...) c’est alors que l'obscurité envahit Ma création.

Mon enfant, Je vous ai donné la vie pour que vous puissiez vivre dans le monde sans être du monde. Le monde est Mon cadeau pour l'humanité et Je dis à Mes enfants que chaque fois que vous obéissez à Mes commandements, et que l'humanité vit en harmonie avec son Créateur, la terre répond, car de Ma création émane alors la beauté de tous les coins de la terre. 

Je vous dis, Mes enfants, que lorsque Mes commandements sont brisés, lorsque les guerres se lèvent et que l’homme tue l'homme, et lorsque Mes petits sont avortés dans l'utérus et que l'innocence de Mes jeunes enfants est dépouillée, c’est alors que l'obscurité envahit Ma création. Sa beauté n'est plus considérée. 

Mes enfants, chaque fois que vous accomplissez de belles actions sur la terre, vous apportez aussitôt des dons sur l'autel céleste et le chœur des anges chante pour louer la gloire et l'honneur que vous reconnaissez à votre Père Céleste. Le Ciel vous appelle, Mes enfants, car à votre jugement les actes que vous aurez faits engendreront d’autant plus de mérites là-haut. 

Venez à Moi et ne vous découragez pas car Je suis le Dieu de miséricorde. J'ai souffert le couronnement d'épines sur la terre pour sauver l'homme de ses péchés, et chaque âme sauvée ne fait qu'ajouter à Ma couronne dans le ciel.

Soyez en paix, Mes enfants, car aujourd'hui est un jour nouveau, un nouveau départ pour que vos cœurs soient adoucis, que vos âmes soient éveillées à la vérité et que vos volontés désirent une plus grande compréhension de Mon amour et de Ma miséricordecar Je suis Jésus, le Roi de la miséricorde et c'est Ma miséricorde et Ma justice qui prévaudront. 

Je ne suis pas venu abolir les Dix Commandements de Dieu. Ces commandements sont valables pour toutes les époques
 Ne pensez pas que je sois venu supprimer la loi de Moïse et l’enseignement des prophètes. Je ne suis pas venu pour les supprimer mais pour leur donner tout leur sens. Je vous le déclare, c’est la vérité : aussi longtemps que le ciel et la terre dureront, ni la plus petite lettre ni le plus petit détail ne seront supprimés de la loi, et cela jusqu’à la fin de toutes choses. C’est pourquoi, celui qui écarte même le plus petit des commandements et enseigne aux autres à faire de même, sera le plus petit dans le Royaume des cieux. Mais celui qui l’applique et enseigne aux autres à faire de même, sera grand dans le Royaume des cieux. Je vous l’affirme : si vous n’êtes pas plus fidèles à la volonté de Dieu que les maîtres de la loi et les Pharisiens, vous ne pourrez pas entrer dans le Royaume des cieux » (Matthieu 5.17-20).

 Voici à nouveau un message que notre Seigneur et Sauveur a adressé à Joseph. Jésus lui a parlé ainsi :

« Au cours de ma vie publique, j’ai dit aux apôtres et au peuple juif que je n’étais pas venu abolir l’Ancien Testament mais l’accomplir. L’Ancien Testament renferme de nombreux passages sur moi, le Messie ou Sauveur, celui qui viendrait dans le monde pour racheter l’humanité. La Genèse en fait mention et les prophètes également, en particulier le prophète Ésaïe. Les prophètes évoquent l’avènement futur du Messie.

« Je ne suis pas venu abolir les Dix Commandements de Dieu. Ces commandements sont valables pour toutes les époques. Si vous m’aimez vraiment, vous suivrez ces lois émises par Dieu le Père. Le commandement que je vous ai donné – Aimez-vous les uns les autres – n’efface pas les commandements de Dieu qui figurent dans l’Exode. Si vous voulez entrer au ciel, il vous faut observer ces commandements chaque jour, et s’il vous arrive de chuter, vous devez confesser vos fautes et recevoir l’absolution dans le sacrement de pénitence.


« À titre de chrétiens, vous êtes appelés à croire en moi, votre Rédempteur. Si vous m’aimez, vous vous conformerez à tout ce que je vous ai enseigné. Vous serez fidèles aux commandements car c’est en les observant que vous me montrez votre amour. Je vous donnerai la grâce qu’il vous faut pour éviter le péché si vous me la demandez. Je suis toujours prêt à vous aider.

 Mon peuple, Ma Main est descendue sur la Bible, sur Mon Crucifix et sur Mes Saints Sacrements pour les protéger des attaques du diable et des mauvaises gens. 

Beaucoup de mauvaises interprétations de la Bible ont été affirmées qui changent complètement le sens de Ma Parole, même quelques uns ont essayé de déformer la vérité selon laquelle les péchés sexuels sont des péchés mortels en disant que ce ne sont pas des péchés.


Beaucoup ne veulent pas de Mon Crucifix dans l’autel parce qu’ils ne veulent pas imiter Mes souffrances dans leur vie. Cependant, par Mes souffrances et Ma mort, vous comprenez combien Mon Amour est profond pour sauver l’humanité toute entière. Mon Saint Sacrement est ma réelle présence parmi vous. Ne vous souciez pas de savoir combien veulent détruire cette vérité de votre foi. Continuez à vénérer Mon Eucharistie qui est le centre de la Messe et la raison pour laquelle vos églises sont sacrées.» (...)

Lorsque vous venez tous à la Messe, vous partagez également ensemble votre foi et vous exprimez votre amour et votre croyance en Moi. 

Lorsque vous me recevez dans la Sainte Communion, vous partagez autour de vous, ma Présence réelle et les grâces qui y sont attachées.
Sachez que recevoir Ma Manne est plus qu’un simple repas. Mon Esprit et votre esprit se mêlent intimement. »

Jésus : « Mon peuple,  il y a beaucoup de croyances religieuses dans le monde et même certains adorent d’autres dieux que Moi. 
Souvenez-vous de Mon Premier Commandement selon lequel vous devez aimer et adorer uniquement le seul véritable Dieu dans la Sainte Trinité. 

Toutes les autres croyances doivent être évitées. J’ai établi Mon Eglise avec Saint Pierre à sa tête et Je suis la Pierre angulaire. 


Ne suivez pas ceux qui ne croient pas que Je suis le Fils de Dieu. Je vous ai donné Mon Eglise sacramentelle et il ne peut y avoir de compromis.


Ne suivez pas le paganisme du New Age ou la religion mondiale qui trompe le peuple. Restez enracinés en Moi et votre âme sera sauvée. 

  Mon peuple, vous assistez à beaucoup de veillées funèbres et de messes funéraires, en considérant les cimetières comme la fin ultime et naturelle de cette vie. Vous croyez tous en Ma Résurrection mais vous devez croire également en votre propre résurrection pour ceux qui en sont dignes. A votre enterrement, vous vous retrouvez face à face avec votre propre mortalité. La mort est la conséquence du péché d’Adam mais J’ai vaincu la mort et J’ai pouvoir au-delà de votre vie dans l’Esprit. Croyez et vivez votre vie en M’aimant Moi et votre prochain et vous serez préparé pour votre jugement. »

 Mon peuple, vous n’avez pas une véritable compréhension de la manière dont le péché mortel menace votre âme. Chaque jour, vous faîtes tout votre possible pour maintenir votre corps en bonne santé et le protéger de la mort. 
Mais combien voient quelle dangereuse mort de l’âme provient du péché mortel. Ma Grâce ne passe plus lorsque vous Me rejetez en commettant un péché mortel.

La vie spirituelle peut être restaurée par le pardon de vos péchés lors de la Confession. 

Ne risquez pas l’enfer et la perte éternelle du Ciel en demeurant en état de péché mortel. Luttez pour conserver votre âme pure et vivant dans Ma Grâce, tout comme vous luttez pour conserver votre corps en vie chaque jour. »

 Mon peuple, quand vous vous voyez vous-même au bord d’un précipice, vous faîtes très attention à ne pas tomber pour éviter une mort certaine. 
De la même façon, vous devriez faite très attention de ne pas tomber dans un grave péché et dans la mort spirituelle. Une fois que vous êtes affaibli par le péché, vous développez des habitudes coupables et vous ne réalisez même plus combien vous m’offensez par vos mauvaises actions.

Il vous est nécessaire de prier chaque jour et jeûner de temps en temps pour vous affermir contre les péchés graves. 

Vous devez passer en revue vos actions chaque jour pour savoir si vous pouvez empêcher vos mauvaises habitudes et comprendre comment vous pouvez faire des progrès dans votre vie spirituelle.

Demeurez près de Moi dans de fréquentes confessions ; ainsi vous pourrez rompre avec vos mauvaises habitudes et prendre la bonne habitude de M’aimer à travers vos actions.


Je bénis ceux qui ont des oreilles pour entendre et des yeux pour voir. 

Moi, Jésus, je vous bénis. » 


08/11/2010
0 Poster un commentaire