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LE PAUVRE ET LA BIBLE


LE PAUVRE ET LA BIBLE

Depuis quelques décennies, nos gouvernements font de gros efforts pour enrayer le problème grandissant de la pauvreté dans le monde. Jusqu’à tout dernièrement, la pauvreté nous apparaissait comme un phénomène appartenant exclusivement aux pays du Tiers-Monde. Cependant, nous la retrouvons maintenant dans nos pays riches. Je ne dis rien de nouveau en déclarant qu’elle résulte du mauvais partage des richesses entre les classes sociales. Une fois de plus, la Bible a quelque chose à dire sur le sujet.

Inégalités sociales

Malgré les efforts consentis pour contrer ce problème, il importe de savoir que nous ne le réglerons jamais complètement. Dans l’Évangile de Jean (12:8), Jésus déclare à ses disciples: «vous avez toujours les pauvres avec vous…» Il y aura effectivement toujours des pauvres parce que le cœur de l’homme est dominé par une nature pécheresse. La misère que nous observons partout autour de nous n’est pas imputable à Dieu, mais bien à l’homme qui, par égoïsme, garde tout pour lui. Même s’il y a des programmes destinés à aider les pauvres, nous devons accepter que ceux-ci ne fonctionnent pas toujours car nombreux sont ceux pour qui le problème est chronique. Les inégalités sociales sont malheureusement un mal nécessaire. De plus, nos systèmes économiques favorisent les riches. Ça a toujours été comme ça et ça va rester comme ça.

La relâche des dettes

En Israël, cependant, des lois avaient été mises en place par Moïse afin de préserver les pauvres de l’endettement chronique.«Tous les sept ans, tu feras relâche. Et voici comment s’observera le relâche. Quand on aura publié le relâche en l’honneur de l’Éternel, tout créancier qui aura fait un prêt à son prochain se relâchera de son droit, il ne pressera pas son prochain et son frère pour le paiement de sa dette.» Deutéronome 15:1-2 Ce système peut paraître utopique à première vue, mais si on le regarde de plus près, il résout plusieurs problèmes liés à la condition des pauvres.

L’endettement

Le principal problème des pauvres est celui de l’endettement. C’est un cercle vicieux qui finit tôt ou tard par étrangler ceux qui perdent leur capacité de remboursement. Parce que les intérêts de la dette s’accumulent sans arrêt, le pauvre est pris dans un piège infernal. Ajoutons aussi à ce problème le fait que bien des pauvres vivent au-dessus de leur moyen en se permettant des dépenses inutiles. Notre système économique permet au pauvre de s’endetter toujours plus même si ce dernier est peu solvable. La loi du Deutéronome brisait ce processus en obligeant les créanciers à relâcher toutes les dettes après sept ans. Trop facile, me direz-vous! Cependant, dans ce genre de système, les créanciers évitaient de prêter à des gens peu solvables car ils savaient qu’au bout de sept années, ils perdraient tout. Le pauvre n’était pas plus riche, mais il évitait ainsi d’entrer dans le cercle vicieux de l’endettement.

Les créanciers

Ce système mosaïque prévenait la société juive d’un autre problème social important: l’enrichissement excessif des banquiers. Comme toute dette devait être relâchée au bout de sept années, on évitait que se crée une classe de banquiers qui profitent du système pour s’enrichir sur le dos des pauvres. Comme je le disais plus haut, ce système obligeait les créanciers à user de discernement dans leurs affaires monétaires. Aussi, ce système produisait un équilibre qui, sans pour autant enrayer la pauvreté, assainissait continuellement l’économie de la nation.

1300 ans avant J.-C.

Une fois de plus, la Parole de Dieu démontre à quel point elle est en avance sur les temps. Nos gouvernements se penchent sur le problème de la pauvreté depuis quelques décennies seulement, alors que la loi mosaïque avait déjà résolu une partie de ce problème.

Un objectif gracieux à poursuivre

 

Ceux qui ont la foi en Jésus-Christ comme celui qui sauve éternellement de la culpabilité, de la punition divine, de la corruption et du pouvoir du péché, ont éprouvé la grâce dans son sens le plus véritable et le plus élevé -- la miséricorde de Dieu s'est exercée de manière sacrificielle pour le rachat de son Peuple, qui ne le méritait pas. En langage économique, la richesse de Dieu en grâce a été librement employée pour soulager notre pauvreté spirituelle désespérée. Comme le dit Paul : "Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, qui pour vous s'est fait pauvre, de riche qu'il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis (2 Corinthiens 8:9). Il est évident à partir du contexte dans lequel on trouve ces paroles que Paul y a mis plus qu'une figure de style -- car c'est une discussion sur le don d'une offrande destinée à faire face aux besoins des saints, frappés de pauvreté.

 

Le comportement gracieux de notre Seigneur Jésus-Christ doit être imité pratiquement par ceux qui espèrent en Lui pour leur salut. Ainsi l'utilisation de nos moyens terrestres (notre richesse) devrait manifester notre expérience de la miséricorde divine en soulageant gracieusement la pauvreté des autres. Cette grâce démontre la sincérité de notre amour :

 

De même que vous excellez en toutes choses, en foi, en parole, en connaissance, en zèle à tous égards, et dans votre amour pour nous, faites en sorte d'exceller aussi dans cette oeuvre de bienfaisance. Je ne dis pas cela pour donner un ordre, mais pour éprouver, par le zèle des autres, la sincérité de votre charité (2 Corinthiens 8:7-8).

 

Seulement, parce que c'est la grâce que Paul recommande ici, il insiste pour dire que la charité[ 1 ] doit être une expression d'une amour sincère du coeur, et non pas quelque chose qui soit pratiqué sous une contrainte externe. Ainsi "je ne dis pas cela pour donner un ordre" dit Paul. La charité résulte d'une contrainte interne. Une telle contrainte est nécessairement ressentie par ceux qui ont été transformés par la grâce de Dieu.

 

Il est inconcevable qu'un pécheur pauvre qui a été enrichi par le salut gracieux de Jésus-Christ ne montre pas de pitié envers le pauvre économiquement. Ce serait un rétrécissement de l'Évangile de la vie éternelle. "Le juste est compatissant, et il donne" (Psaume 37:21). Celui qui se réclame de l'amour de Dieu, mais qui manque de compassion pour l'indigent, n'a pas vraiment éprouvé ce qu'il professe. L'apôtre Jean a écrit :

 

Si quelqu'un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui ? (1 Jean 3:17)

 

L'amour plein de grâce de Dieu produit des personnes qui exercent un amour plein de grâce envers les autres. Aucun autre pouvoir dans l'univers ne peut produire un tel coeur. La grâce engendre toujours la grâce, et elle seule peut le faire.

 

Nous pouvons donc prendre comme point de départ biblique que les Chrétiens devraient ressentir la responsabilité de "travailler à leur salut" (cf. Philippiens 2:12) dans le royaume économique en cherchant à satisfaire les besoins véritables de ceux qui sont frappé de pauvreté[ 2 ] et à soulager leur misère. Nourir ceux qui ont faim parmi les frères en Christ, les vêtir dans le dénuement, et leur rendre visite quand ils sont malades, c'est rendre service au Christ lui-même : "toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites" (Matthieu 25:40). Comme les Proverbes le disent, "celui qui a pitié du pauvre prête à l'Éternel, qui lui rendra selon son oeuvre" (Prov. 19:17). La charité exprimée envers l'indigent honore le Créateur du pauvre (Prov. 14:31), car "celui qui se moque du pauvre outrage celui qui l'a fait" (Prov. 17:5). La manière dont nous répondons à celui qui est frappé de pauvreté est alors une indication sur notre relation à Dieu comme Créateur et Rédempteur.

 

Les Proverbes nous enseignent qu'une femme pieuse "tend la main à l'indigent" (Prov. 31:20), et que "celui qui donne au pauvre n'éprouve pas la disette" (28:27). En effet, "l'homme dont le regard est bienveillant sera béni, parce qu'il donne de son pain au pauvre" (Prov. 22:9). Ainsi, "celui qui méprise son prochain commet un péché, mais heureux celui qui a pitié des misérables!" (Prov. 14:21). D'autre part, l'oppression des pauvres et l'enrichissement à leurs dépens se révèle une tactique coûteuse qui met dans le besoin (Prov. 22:16) et c'est se constituer ennemi de Dieu (Prov. 22:22-23). De même, négliger la situation difficile des pauvres rend nos propres prières inefficaces : "celui qui ferme son oreille au cri du pauvre criera lui-même et n'aura point de réponse" (Prov. 21:13).

Les moyens bibliques à cette fin

 

La parole de Dieu ne nous dirige pas seulement vers l'objectif plein de grâce vers lequel tous nous devrions concourir (à savoir de soulager les besoins des pauvres), mais elle a aussi beaucoup à dire sur les moyens par lesquels le Chrétien accomplit avec grâce cet objectif. Après tout, la fin ne justifie pas les moyens aux yeux de Dieu. On peut imaginer de piller des banques pour donner de l'argent aux nécessiteux pour aider les pauvres, mais ce moyen encourt la colère et la malédiction de Dieu !

 

Comment alors la parole de Dieu nous instruit-elle sur la manière de montrer de l'intérêt pour le pauvre et indigent ?[ 3 ] Tout d'abord, en ne nous cachant pas leurs besoins -- s'isoler de sorte que nous n'entendions pas le cris des pauvres. La Bible condamne le fait de "fermer son oreille" et de "fermer les yeux" (Prov. 21:13 ; 28:27), qui sont des manières simples de rester insensible aux situations difficiles des moins fortunés que nous côtoyons. "Le juste connaît la cause des pauvres" (Prov. 29:7). En effet, quand il donne un dîner, il est mis en relation avec des pauvres et peut les inviter, eux qui ne peuvent pas le récompenser en retour (Luc 14:12-14).

 

En second lieu, bien évidemment, nous sommes invités à exercer une pitié amicale envers les pauvres (cf. Prov. 14:21) en donnant généreusement pour soulager leurs besoins spécifiques -- en faisant les dons directs pour acheter de quoi manger ou des vêtements, pour payez des factures, pour payer un traitement médical, etc. (Matthieu 25:35-39 ; Luc 14:12-14). "Le juste donne sans parcimonie" (Prov. 21:26 ; Cf. 22:9).

 

Troisièmement, la loi de Dieu protège et prévoit des dispositions sociales favorables pour le pauvre et l'indigent, comme l'interdiction de saisir comme garantie certaines choses indispensables à la vie (Exode 22:26-27 ; Deutéronome 24:13-22) ou de faire payer un intérêt sur les prêts qu'on leur fait (Exode 22:25 ; Lévitique 25:35-37 ; Deutéronome 15:7-11 ; 23:19-20). Il arrive parfois qu'une personne ne peut pas se permettre une donation à un frère dans le besoin, mais qu'elle peut lui prêter une certaine somme d'argent pendant un certain temps. C'est une vertu chrétienne que de ne pas se détourner de ceux qui nous emprunteraient de l'argent (Matthieu 5:42), tout en n'en attendant pas de bénéfice (Luc 6:35). Dans un tel cas, il serait immoral de profiter de la détresse de notre frère : le prêt peut ne porter d'intérêts. Dieu lui-même payera en retour cette bonne action (Prov. 19:17), alors que la violation de ce commandement de Dieu vous amènera à perdre votre gain financier au profit de quelqu'un d'autre de plus gracieux (Prov. 28:8).

 

Quatrièmement, la loi de Dieu prévoit également une disposition sociale favorable envers les pauvres en exigeant de nous d'autoriser le glanage (Lévitique 19:9-10 ; 23:22 ; Deutéronome 24:19-20). Les restes dans nos champs, les fruits qui tombent au sol et les coins de terrains qui ne sont pas récoltées doivent être rendus disponible à ceux qui sont dans le besoin. Les pauvres peuvent ainsi travailler pour subvenir aux besoins de leurs familles avec ce qu'ils peuvent emporter (ce qui pose des limites et des contraintes naturelles à la portée de cette disposition). L'application de cette exigence divine en dehors du domaine agricole n'est pas inconcevable (par exemple par des dons de vêtements encore utilisables, de meubles, d'appareils, de monnaie du marché ou du restaurant, etc.)

 

Cinquièmement, la parole de Dieu nous donne la sagesse de voir qu'il est inadéquat et digne de désapprobation que quelqu'un profite de son avantage sur le marché libre pour gonfler les prix sur des articles de première nécessité. "Celui qui retient le blé est maudit du peuple, mais la bénédiction est sur la tête de celui qui le vend" (Prov. 11:26).Sera ainsi maudite l'avarice qui priverait le marché d'un produit vital, par une pénurie organisée dans le but de désespérer les gens pour augmenter le bénéfice sur la vente plus tard.

 

Sixièmement, les Écritures exigent de nous que nous protégions les droits de propriété de ceux qui, dans la société, n'ont pratiquement aucune voix, qui sont les plus faciles à exploiter, et qui n'ont pas de poids politique -- des gens comme les veuves et les orphelins (Deutéronome 10:18 ; Psaume 68:5 ; Prov. 15:25 ; 22:28 ; 23:10-11). Déplacer les bornes de leurs terrains ou diminuer par d'autres moyens l'utilisation et la valeur de leur propriété et possessions -- que ce soit par la législation, des contrats trompeurs ou des manipulations judiciaires -- provoque la vengeance de leur Rédempteur, selon la Bible, et nous devrions aussi intervenir pour les défendre. C'est particulièrement nécessaire dans une culture où il est devenu si coûteux (et tordu) de résoudre les conflits devant un tribunal civil et de préserver ses droits.

 

Septièmement, les Chrétiens qui plaident en faveur des droits de l'indigent dans les procès, et ceux à qui est confiée l'autorité juridique, comme les juges de nos tribunaux, sont particulièrement enjoints par Dieu de soulager la facile oppression sociale de l'indigent et de se garder d'avoir un préjugé juridique envers lui. Dieu prévoit que les rois "délivrent le pauvre et l'indigent" (Psaumes 72:2-4, 12-14) -- ce qui signifie, selon le texte biblique lui-même, qu'ils doivent "briser leurs oppresseurs" en établissant l'équité dans les tribunaux et en les protégeant des "pots de vins" des "fraudes" et de la "violence" (Lévitique 19:15 ; Ex. 23:3, 6 ; Ps. 82:1-4 ; Amos 5:11-12 ; cf. Prov. 22:22-23 ; 29:14).

 

Huitièmement, une autre manière de nuire à ceux qui sont dans le besoin est pour des employeurs riches de les exploiter en retardant ou en retenant les salaires de leurs employés (Lévitique 19:13 ; Jacques 5:1-6). Dans ces cas, le Chrétien doit venir à la défense du travailleur et demander le respect des engagements qu'on a faits envers lui, de peur que sa condition économique ne soit encore détériorée. De même, les Chrétiens doivent prendre position pour protéger la liberté des pauvres sur le marché, de sorte qu'ils puissent avoir une opportunité de travailler (par exemple, contre les ateliers réservés aux travailleurs syndiqués, etc. ; cf. Matthieu 20:1-16) et pour entrer dans la concurrence à un prix qui les rende plus susceptibles d'être embauchés (par exemple, contre les exigences de salaire minimum imposées par l'état, etc. ; cf. Apo. 13:17). Priver les gens de la liberté d'être concurrentiels sur le marché et de jouir ainsi de l'ascenseur social viole l'amour que nous devons avoir pour notre prochain et transgresse la règle d'or.

 

Neuvièmement, les familles chrétiennes doivent être attentives à faire le nécessaire pour satisfaire aux besoins économiques de leurs membres (1 Timothée 5:8), en particulier ceux qui vivent des moments difficiles. Cela exige non seulement de la diligence et de l'attention dans la gestion des dépenses ordinaires (par exemple, Prov. 6:6-11 ; 10:4 ; 19:15 ; 20:4 ; 23:21 ; 24:30-34), mais également de la prévoyance et de la frugalité pour pouvoir faire face à des besoins d'urgence imprévisibles (cf. par exemple, Lévitique 25:25, 49). De même, comme extension de cette disposition d'amour, les familles peuvent montrer de la bienveillance envers d'autres croyants qui ont des dettes et sont devenus insolvables en permettant au frère pauvre de se "vendre" volontairement (en fait de vendre son travail) à leur service, tout en étant traité et soigné comme un membre de la famille. Ses dettes seraient payées (Lévitique 25:39), il apprendraient le travail responsable et comment économiser de l'argent (peut-être assez pour acheter son propre affranchissement : Lévitique 25:49), et en son temps il lui serait donné des libéralités pour commencer une nouvelle vie (Deutéronome 15:14).

 

Dixièmement et d'une manière tout-à-fait primordiale, la congrégation Chrétienne devrait en tant que telle exercer un ministère pour les besoins des pauvres. Le rôle du diacre a été spécifiquement ordonné comme ministère de miséricorde envers l'indigent, par exemple pour l'aide quotidienne aux veuves (Actes 6:1-6). Les dîmes et les offrandes que Dieu réclame doivent régulièrement être utilisés pour le soulagement des pauvres (Deutéronome 14:28-29).[ 4 ] Et des offrandes spéciales doivent être collectées par l'église pour prendre soin des Chrétiens souffrant de difficultés ou d'urgences spéciales (par exemple, 1 Corinthiens 16:1-2 ; Romains 15:25-27 ; 2 Corinthiens 8). L'agence charitable de l'église est l'un des moyens les plus durables, puissants et efficaces pour distribuer de l'aide financière à des gens dans le besoin. Une telle distribution de la charité est motivée par des sacrifices et des offrandes volontaires faits par le peuple de Dieu, conformément à ce que Dieu prévoit. Ses ressources doivent être constituées d'une base de 10% des revenus de tous parmi le peuple de Dieu, grands ou petits -- encore augmenté des offrandes volontaires de croyants reconnaissants qui ont été bénis suffisamment pour satisfaire à leurs propres besoins. La supervision et l'administration sont locales, responsables envers la congrégation, et donc beaucoup moins vulnérables au détournement, à la fraude et aux dépenses d'une lourde bureaucratie centrale.

 

Cet échantillon très rapide de l'enseignement biblique, démontre que la parole de Dieu a beaucoup à nous dire, pas simplement sur l'objectif d'aider les pauvres et les indigents, mais également sur les moyens spécifiques que Dieu a approuvés et commandés pour accomplir cette tâche. La Bible nous exhorte à poursuivre l'objectif gracieux de soulager celui qui est frappé de pauvreté. Elle révèle aussi des moyens gracieux variés pour le réaliser. Certaines suggestions récentes ont été faites par quelques Chrétiens évangéliques qui compléteraient les moyens mentionnés ci-dessus, et par lesquels les croyants devraient soutenir les pauvres, et notre tâche est maintenant d'évaluer ces moyens supplémentaires quant à leurs qualifications bibliques (ou leur manque dequalifications bibliques). La fin ne justifie pas n'importe quel moyen aux yeux de Dieu, comme nous l'avons dit précédemment. Il est important que nous fassions le travail de Dieu avec les moyens prévus par Dieu.

 

 


06/01/2012
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