Notre-dame-de-lourde-créateur-francois-partie-01 et 2

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L'homme est le seul être sur terre à détruire son habitat.


L'homme est le seul être sur terre à détruire son habitat.il est un danger humanitaire c est lui qui a crée un telle désastres

L'homme est le seul animal sur terre à détruire son habitat.

Il ne pense qu'à l'argent et au nom de cet argent il détruit les forêts, la mer, les insectes en pulvérisant à tout va sur les champs cultivés. Le problème est qu'il ne pense pas que la forêt et la mer nous fournissent l'oxygène dont nous avons besoin et que ce sont des régulateurs de pollution.La forêt Amazonienne est entrain d'être détruite pour enrichir quelques personnes, sans penser que les animaux et quelques Indiens n'auront bientôt plus d'habitat. Pour avoir moins de travail de graves insecticides chimiques sont utilisés, mais ces personnes oublient que ce sont des insectes qui pollinisent les fleurs, les arbres et plantes, qui donneront fruits et légumes, ces insecticides tuent non seulement les insectes "soit-disant" nuisibles mais aussi les insectes utiles comme les coccinnelles et les abeilles. Ils ne sont que rarement sélectifs et même dans ce cas je n'y crois pas.Et pour finir j'aimerais vous dire ces quelques phrases que j'aime beaucoup:C'est lorsqu'il aura fait tomber le dernier arbre.Pollué le dernier ruisseau Pêché le dernier poisson.Que l'homme s'apercevra que "l'argent" n'est pas comestible.

 

 

Les forêts sont connues pour être les poumons de notre planète, en l'occurrence la forêt amazonienne. En effet, en captant le dioxyde de carbone présent dans l'atmosphère, les arbres rejettent de l'oxygène. Ce phénomène est la photosynthèse (cette réaction nécessite de l'eau, des nutriments et de la lumière). 

Les forêts constituent ce qu'on appelle des puits de carbone. Elles retiennent le CO2, environ 638 milliards de tonnes (dans le monde) et évitent une forte concentration carbonique atmosphérique, ce qui permet d'amoindrir les effets du réchauffement climatique et donc d'éviter un changement brutal du climat. Les océans remplissent, également cette fonction, et stockent, d'ailleurs plus de carbone que les forêts. 

Par la destruction de ces écosystèmes forestiers, une quantité moindre de carbone est alors absorbée et sa concentration dans l'atmosphère devient de plus en plus importante. Les océans ne peuvent plus suppléer aux forêts car eux-mêmes seraient, d'après certains scientifiques, au bord de la saturation 
Plus le CO2 est présent dans l'atmosphère, plus les répercussions sur le climat sont importantes.

 

En cultivant, déboisant à outrance la forêt dans l’exploitation du charbon, des planches, l’homme a fait naître la savane, prélude du désert. Au Congo, dans la région du Pool, de vastes étendues de terrain offrent un paysage où l’homme ne peut s’abriter du soleil.

 


 

Cette activité de destruction de la forêt s’accroît de plus en plus et rien n’est fait pour réguler le travail de l’homme, pour l’aider à comprendre l’action vitale de la forêt dans la purification de l’air, la protection de la terre contre la violence des pluies et les phénomènes érosifs.

 


La terre nourricière en se dégradant devient un dépotoir où l’on déverse toutes sortes de déchets : les sachets d ’emballage, les seringues souillées, les carcasses de voitures, des tessons de bouteilles, des objets en plastique non dégradables.

 


 

Dans des villes africaines, ce problème se pose avec acuité car celles-ci ne disposent guère de moyens adéquats pour le traitement des ordures non dégradables.

 


 

Les jardiniers dans leur travail, payent le prix de notre ignorance et désinvolture par les blessures occasionnées par ces objets tranchés déposés par l’homme.

 


 

La terre altérée devient un musée dangereux pour les êtres vivants.

 


 

Ce travail négatif s’étend dans le domaine de l’agriculture. L’irrigation abusive des terres a affecté les rivières. C’est le cas du lac Tchad dont la superficie (25.0000 km2) se rétrécie considérablement avec pour conséquence l’assèchement de son lit.

 


 

De gros efforts sont exigés des gouvernants et de la communauté internationale pour entreprendre de gros travaux de canalisation en vue d’alimenter en eau ce lac en soutirant le trop - plein d’eau de la rivière Oubangui et du fleuve Congo. Cette perturbation crée un déséquilibre dans l’écosystème. Le cas le plus remarquable s’observe de l’usage que l’homme fait des eaux des rivières, des fleuves, des mers et des océans.

 


 

Au lieu d’être des sources de vie, des fleuves comme le Congo, le Sénégal, le Niger, etc...et d’autres rivières sont devenus des sources de maladies. Les poissons de ces cours d’eau deviennent impropres à la consommation du fait des produits pétroliers et chimiques qui y sont déversés.

 


 

Les mers et les océans ne sont guère à l’abri de pollution. Les bateaux transportant les produits pétroliers les répandent plusieurs fois dans ces eaux en cas d’accident causant la mort de poissons, d’animaux et oiseaux marins. D’espèces rares disparaîtront de la terre si l’homme continue à se conduire comme il le fait.

 


 

Ces gaz qui s’échappent des voitures, des usines accidentées ou non nuisent à l’ozone, cet écran de l’atmosphère située à une altitude de 30 km au-dessus de la terre assurant la protection de l’homme en empêchant les rayons ultra - violents, très nocifs parce que cancérigènes à l’atteindre.

 


 

Aucune sphère de l’activité de l’homme n’est épargnée. Un péril qui se produirait dans un pays quelconque pourrait s’étendre sur d’autres pays.

 


 

En Afrique centrale, traversée par l’équateur, la géographie l’a dotée d’une forêt riche en faune et en flore. Elle abrite une faune variée, constituée de buffles, d’éléphants, de gorilles, menacés d’extinction pour des besoins commerciaux au détriment aussi bien de l’équilibre de notre écosystème que notre progéniture qui ne connaîtra ces animaux qu’à travers les gravures.

 


 

En méditant sur les catastrophes ayant secoué l’humanité : l’accident de Tchernobyl, l’incendie de l’usine de pesticide à Bopal , le Crash du Concorde à Paris, l’homme doit comprendre que l’usine ou la technologie les plus perfectionnées au monde, ne sont jamais à l’abri d’accidents.

 


 

Il faut donc renforcer de plus en plus les mesures de sécurité. Ceci concerne les pouvoirs publics, régulateurs de nos sociétés.

 


 

Par de gestes simples, avec une claire vision des choses, l’homme peut prendre conscience de sa santé.

 


 

L’envie de s’enrichir, à tout prix, dans un temps excessivement court, l’a poussé à poser des actes dans le domaine alimentaire, oubliant d’observer les lois de la nature.

 


 

Des cas de maladies dues à la consommation de ces denrées ont été constatés en Europe. Qui sait si l’Afrique, du fait de sa non maîtrise de certaines technologies, n’est pas déjà atteinte.

 


 

Ces actions conscientes ou non provoquent le dégradation de notre environnement et par voie de conséquence, de notre santé.

 


 

La journée de la terre célébrée chaque année, devait nous permettre de réfléchir pour changer cet état de chose.

 


 

Les énergies classiques comme le pétrole sont d’une grande importance. On estime à 40% la consommation mondiale. Les Etats-Unis à eux seuls consomment le quart (1/4) de cette production. Le pétrole et d’autres gaz qui s’échappent dans l’atmosphère sont à la base du réchauffement de la terre et des changements climatiques, ces énergies qui font fonctionner nos usines doivent être remplacées par des énergies non préjudiciables à l’être humain comme l’est l’énergie solaire. A défaut de remplacer le pétrole du fait de son importance, un effort doit être consenti pour assainir cette énergie qui présente de graves risques pour l’homme.

 


 

Désormais, les ingénieurs, dans leurs bureaux doivent relier leur rêve de construction d’usines à la réalité en prenant en compte la vie des populations et l’environnement. Ils doivent proscrire des industries à risques.

 


 

 



06/01/2011
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