Notre-dame-de-lourde-créateur-francois-partie-01 et 2

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La foi et l’espérance en Dieu — 1 Pierre 1:21 et 3:5


La foi et l’espérance en Dieu — 1 Pierre 1:21 et 3:5

 La foi et l’espérance en Dieu  —  1 Pierre 1:21 et 3:5

En attendant que la révélation de Jésus Christ nous apporte cette grâce finale, Celui que nous connaissons comme l’Agneau dont le sang précieux nous a rachetés, est non seulement vivant, de l’autre côté de la mort vaincue, mais il est dans la gloire. Dieu la lui a donnée après l’avoir ressuscité d’entre les morts, de sorte que notre foi et notre espérance fussent en un tel Dieu qui a voulu et fait tout cela. C’est «par Christ» que nous croyons, mais Celui en qui nous croyons est «Dieu qui l’a ressuscité d’entre les morts et lui a donné la gloire». De même, en Romains 4:24, nous croyons «en Dieu qui a ressuscité d’entre les morts Jésus Christ notre Seigneur», de sorte que notre justification vient de la foi en un tel Dieu. Ici, c’est notre espérance qui est en Lui, par la même foi. Il opèrera pour nous ce qu’il a fait pour Christ, qu’il a ressuscité et glorifié. Notre espérance est non seulement, comme en Hébreux 6:19, une ancre de l’âme sûre et ferme parce que jetée au-dedans du voile où Christ est entré, mais elle est «en Dieu». Quelle assurance que rien ne peut quoi que ce soit contre elle ! L’héritage est conservé dans les cieux, nous sommes gardés sur la terre par la puissance de Dieu, mais Dieu lui-même se fait le garant de l’espérance. Elle est aussi ferme que lui, et lui est pour nous, à jamais. Nos péchés ont été portés par Christ, que Dieu a ressuscité et glorifié, et du moment que cette question est ainsi réglée, quoi d’autre pourrait troubler notre confiance ? Comme fondement, le sang versé ; comme sommet, Dieu donnant la gloire à notre rédempteur et l’assurant à tous ceux qui ont été rachetés par ce sang précieux ! En vérité, «que dirons-nous donc à ces choses ?»

C’est, au reste, le propre de la foi dans tous les temps que de mettre son espérance en Dieu lui-même, tel qu’il s’est révélé. Le croyant a saisi qu’il ne peut compter ni sur soi ni sur qui ou quoi que ce soit au monde, en dehors de Dieu. Les «saintes femmes» d’autrefois espéraient ainsi en Dieu (1 Pierre 3:5). Sara ne se reposait ni sur sa beauté ni sur son rang, pas plus qu’elle n’était arrêtée par son incapacité naturelle à enfanter (Hébr. 11:11) ; elle n’espérait rien d’elle-même, ni de son seigneur Abraham, mais elle avait toute assurance en «espérant en Dieu». Quand le coeur est tourné vers Dieu et non vers les choses qui se voient, il n’y a plus ni doute, ni crainte, mais la paix du coeur, dans la confiance en Dieu lui-même et dans la recherche constante de son approbation.


22/06/2011
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