Notre-dame-de-lourde-créateur-francois-partie-01 et 2

Notre-dame-de-lourde-créateur-francois-partie-01 et  2

témoignage d’un scientifique, Marc


témoignage de NDE d’un scientifique, Marc

Cela aurait pu arriver à n’importe lequel d’entre nous, mais cela m’est arrivé. Cela n’a pas duré plus de 20 secondes et, au bout de ce temps, à une fraction de seconde près, ma mort inéluctable aurait dû survenir dans un fracas de voiture disloquée. 

Le récit de ces 20 secondes est très simple. Seul avec mon chien Ghessi, je roulais, pied au plancher, direction ... La semaine avait été lourde d’activités et j’étais assez fatigué. Une fois de plus, c’est avec un grand besoin de sommeil que je pris la route. Je sais que se conduire ainsi est d’une grande imprudence. Surtout que déjà, par deux fois, il m’était arrivé de m’endormir au volant et d’échapper au dernier moment à un fatal accident, grâce à un déroulement incroyablement chanceux des faits. ... Mais peut-on toujours compter sur la bienveillante sollicitude de son “ange gardien” ? Cette fois-ci, à 160 km/h, le pied tétanisé sur l’accélérateur, je sentais la fatigue m’engourdir et attaquant, pour la première fois de ma vie, cette route de montagne que je ne connaissais pas, je sentis sous moi la voiture qui commençait à doucement tanguer. Devant moi s’étendait une longue portion de route, dont l’extrémité sortait de ma vision par un virage sur la droite, tranchant l’extrémité de la montagne. Sur ma gauche, j’avais la pente de la montagne qui grimpait. A ma droite, s’étalait un terre-plein construit par les déblais du taillage de cette route de montagne. Ce terre-plein assez large me cachait donc ce qui aurait dû être, logiquement, au pied de cette montagne, une vallée. 

Et là s’arrêtent mes souvenirs d’avant. Et une nouvelle cassette de souvenirs différents s’enregistre. 

Je suis dans un état de sérénité totale. Tous les bruits se sont estompés. C’est toujours le même ciel, le même soleil, les mêmes paysages en couleur qui m’entourent. Mais, je ne suis plus dans ma voiture et je ne me déplace plus horizontalement à grande vitesse mais verticalement à la vitesse tranquille d’un vieil ascenseur poussif. Curieux et dans un état de paix parfaite, je regarde autour de moi le paysage : à ma gauche, je m’élève par rapport à la pente de la montagne, à ma droite, m’élevant au dessus du terre-plein, la vallée se découvre au fur et à mesure. Devant moi, enfin, c’est le paysage que je connais d’avant : on approche de midi et sur le long ruban de cette route, à vive allure, vers la tranchée dans la montagne, se déplace une voiture qui n’attire pas particulièrement mon intérêt. Maintenant, je suis arrivé dans mon ascension à un point suffisamment élevé pour découvrir le fond de la vallée. J’y vois deux cours d’eau, reflétant le bleu du ciel, avec des rives de sable doré, s’y rejoindre dans un dessin assez caractéristique d’une forme d’Y. C’est un très beau spectacle que j’apprécie beaucoup. Mais maintenant, c’est ce que je vois au loin devant moi sur la route qui mobilise mon attention. Cette voiture de tout à l’heure zigzague de plus en plus et chacune de ses oscillations la rapproche de plus en plus des parois bordant sa gauche et là, c’est inéluctable, au bout de cette dernière oscillation qui commence, encore plus ample que les précédentes, cela va être une catastrophe tout sera broyé. Et là, stupéfaction, je m’écrie : “Mais, c’est ma voiture, Ghessi, mon chien est dedans, il est foutu ! Je dois le sauver” 

Coupure de la cassette des souvenirs différents. 

Instantanément, je me retrouve au volant de ma voiture, collé dos au siège, comme si je venais de subir une accélération, avec la sensation d’une fusée aux fesses qui me faisait me propulser dans ce virage étroit tranché dans la montagne, à 160 km/h, dans ce couloir où la prudence minimum aurait voulu qu’on plaçât un panneau indicateur : 50 km/h maxi ! 

Bref, j’en sortis vivant, je ne sais comment et sans une égratignure, mais anéanti de sommeil. Je m’arrêtai toutes glaces ouvertes sur le premier bas-côté disponible. Ghessi veilla sur mon sommeil pendant lequel, m’étant affalé sans précautions, comme une masse, je fus gratifié d’un imposant et cuisant coup de soleil sur tout le visage. 

Telle fut mon aventure. Avais-je rêvé ? Était-ce une hallucination ? Étais-je devenu fou et incapable de discerner la réalité de l’illusion ? Étais-je mort ou ressuscité ? 

Je pourrais remplir des pages et des pages de mon questionnement sur ces 20 secondes. L’essentiel de la question était : ceci s’est-il réellement passé ? Où était ce lieu ? Comment prouver la réalité de ce qui s’est passé là ? Ces questions m’obsédèrent pendant trois ans. Trois ans de recherches, de réflexion, de route, la même que je refis trois fois et finalement je trouvai : oui, toute cette histoire est vraie. Ce lieu existe. Cet embranchement de rivière en Y caractéristique existe vraiment. Et il ne peut être vu que d’un point largement situé au-dessus de la route, car de la route, un conducteur assis sur son siège ne peut rien voir du fond de la vallée. 

Et la conclusion inéluctable s’imposa : 

Tout ceci est vrai, voulu (et par qui et dans quelle intention, s’il vous plaît ?) ou fortuit et preuve d’un dysfonctionnement à une fraction de seconde près d’un dispositif de recueil dans un autre monde (après tout, existe-t-il seulement quelque part des dispositifs ou êtres absolument parfaits ?). C’était donc vrai, la MORT c’est cela : c’est la porte à travers laquelle on s’élance, où on s’élève paisiblement vers un au-delà inconnu mais réel. Et cela, qui était mon destin, ce jour là, à cette heure là, à cette fraction de seconde près, CELA ne s’est pas produit ! Et pour en retrouver la logique, il n’y a, après retournement du problème dans tous les sens, qu’une seule solution : dans la patrie du Saint fraternel de tous les animaux, mon devoir de salut envers mon chien Ghessi m’a valu X années supplémentaires de services sur cette planète Terre. Je sais, disant cela, que je vais en faire bondir plus d’un. Et bien, je vais enfoncer le clou : je suis ingénieur de formation scientifique donc, ce jour là, sur cette “autoroute de l’Eglise” au lieu-dit ..., tous les éléments et paramètres mesurables étaient réunis pour tout connaître de la vitesse, de la position et de tous autres éléments de l’environnement du phénomène et de rigoureux calculs donnent ceci : 

1) Du point où je m’exclamais “Ghessi va être écrabouillé”, à celui, où, fusée aux fesses, je parvenais à franchir la trouée de la montagne sans accident et par miracle, la vitesse de réintégration de l’observateur curieux, situé au début de la route à quelques 30 m de hauteur du corps du conducteur rivé sur son siège, à l’autre bout de la route, quelques km plus loin, et bien cette vitesse est d’environ 7 000 km/heure minimum, quant au maximum, sans être de la mécanique quantique, je n’ai pas les moyens de l’apprécier. Ces quelques 20 secondes aux portes de l’éternité ont peut-être moins duré que l’éclat d’une bombe nucléaire, je suis pourtant persuadé que si ce qu’elles laissent entrevoir peut suffire, avec l’appui d‘autres preuves du même genre, à faire voler en éclat le mur d’ignorance et ce manque de lucidité qui cimente notre monde clos, renfermé stupidement sur lui-même. Alors, l’éclat de ces 20 secondes sera plus ravageur que celui de 1 000 bombes atomiques réunies. 

2) Le résultat d’une longue chaîne d’amour 

Car ces 20 secondes sont le résultat d’une longue chaîne d’amour : il a d’abord fallu, pour exhumer tout cela de l’oubli et le porter à la connaissance de mes semblables, qu’un ami très cher, perdu de vue depuis 20 ans, en état de coma prolongé à la suite d’une accident de voiture, parle à son fils d’un ami perdu qu’il appelait de ses vœux (cet ami, c’était moi). Et l’ayant ainsi retrouvé, c’est lui qui m’engagea à raconter cette histoire. Sans cette amitié, un des plus beaux aspects de ce qu’est l’Amour, jamais ce récit n’aurait vu le jour. 

Le second miracle d’Amour, mais n’était-ce pas le lieu privilégié pour cela, c’est celui qui relie l’animal fidèle à son maître et vice-versa. Qui fait que les deux ne forment qu’un à leur mutuel service, quelqu’en soit le prix. Et cet amour, je l’avais de mon chien Ghessi comme de tous les animaux que je ressens comme mes frères. 

Et enfin, si cette humble créature dont je ne suis que l’enveloppe terrestre, peut s’adresser à vous pour vous raconter cette édifiante histoire, c’est bien parce que l’infini amour de Dieu (donnez lui tous les noms et qualificatifs que vous voulez, il faut bien parler de “celui qu’on appelle Dieu” user d’un mot simple compris de tous !) envers sa “créature” fait que votre serviteur s’est donc vu infliger la nécessité d’agir sur cette Terre dans l’esprit de Service, dont toute cette histoire rappelle ainsi les éléments fondamentaux qu’elle permet de découvrir. 



En conclusion, notre civilisation, comme toute civilisation technique en perpétuel accroissement de ses pouvoirs, est arrivée à l’orée des chemins. Deux voies s’offrent à nous : 

- ou bien les haines et dissensions des peuples se régleront par des affrontements de plus en plus destructeurs et ce sera la fin de notre civilisation humaine. Voire la fin de toute vie sur notre planète 

- ou bien les sentiments d’assistance, de solidarité et d’amour, prévaudront et dans ce cas, notre civilisation rejoindra dans l’éternel COSMOS toutes celles qui nous ont déjà précédées sur la voie d’un fabuleux destin digne des Dieux créateurs. 


28/01/2011
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