Notre-dame-de-lourde-créateur-francois-partie-01 et 2

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LA BIBLE ET LES PAIENS


LA BIBLE ET LES PAIENS

Nouveau Testament

L’arbre de Noël si connu aujourd’hui parmi nous, était aussi connu dans la Rome et dans l’Egypte païenne. En Egypte, c’était le palmier, à Rome le sapin ; le palmier dénotait le Messie païen Baal-Tamar, le sapin se rapportait à lui sous son caractère de Baal-Berith. Sémiramis, la mère d’Adonis, le dieu soleil, la divinité médiatrice avait été, disait-on, changée en arbre et dans cet état elle avait enfanté son fils. Si la mère était un arbre, le fils doit avoir été reconnu comme l’homme-branche. Et c’est ce qui explique pourquoi on mettait au feu la bûche de Yule la veille de Noël. En qualité de Zero Ashta, la semence de la femme, qui signifie aussi Ignigena, ou né du feu, il doit entrer dans le feu pendant la nuit de la Mère (le 24) afin de pouvoir naître le lendemain (25) comme branche de Dieu, où l’arbre qui donne aux hommes tous les dons célestes. Mais pourquoi, demandera-t-on entre-t-il dans le feu sous le symbole d’une bûche ? Pour le comprendre, il faut se rappeler que le divin enfant né au solstice d’hiver était comme une nouvelle incarnation du grand dieu (après que ce dernier eut été mis en pièces) afin de venger sa mort sur ses meurtriers. Or le grand dieu, brisé au milieu de son pouvoir et de sa gloire, était représenté sous la forme d’un gros arbre, dépouillé de ses branches, et coupé presque hauteur de terre. Mais le grand serpent, symbole d’Esculape qui rend la vie (Esculape : dieu romain de la médecine) s’enroule autour du tronc sans vie, et voici qu’à côté surgit un jeune arbre, un arbre d’une espèce entièrement différente, qui ne doit jamais être abattu par aucune puissance ennemie, un palmier, le symbole bien connu de la victoire. L’arbre de Noël, comme on l’a déjà vu, était ordinairement à Rome, un arbre différent c’était le sapin ; mais le palmier rappelait la même idée que le sapin de Noël ; car il symbolisait mystérieusement le dieu né de nouveau, Baal-Berith, le seigneur de l’alliance, et témoignait ainsi de la perpétuité et de la nature de son pouvoir, maintenant qu’après avoir succombé sous ses ennemis, il s’était élevé en triomphe au-dessus d’eux. Aussi, le 25 décembre, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était réapparu sur la terre était-il considéré comme « Natalis invicti solis », le jour de naissance du soleil invaincu. Or la bûche de Yule est le tronc mort de Nemrod, déifié comme dieu soleil, mais renversé par ses ennemis ; l’arbre de Noël est Nemrod redivivus, le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie. 

Notez la dureté du langage ainsi que la question sur la sagesse du monde

1Co1:17 à 1Co1:27
Car le Christ ne m'a pas envoyé baptiser, mais annoncer l'Évangile, et cela sans la sagesse du langage, pour que ne soit pas réduite à néant la croix du Christ. Le langage de la croix, en effet, est folie pour ceux qui se perdent, mais pour ceux qui se sauvent, pour nous, il est puissance de Dieu. Car il est écrit : Je détruirai la sagesse des sages, et l'intelligence des intelligents je la rejetterai.

Où est-il, le sage ? Où est-il, l'homme cultivé ? Où est-il, le raisonneur de ce siècle ? Dieu n'a-t-il pas frappé de folie la sagesse du monde ?

Puisqu'en en effet le monde, par le moyen de la sagesse, n'a pas reconnu Dieu dans la sagesse de Dieu, c'est par la folie du message qu'il a plu à Dieu de sauver les croyants.

Alors que les Juifs demandent des signes et que les Grecs sont en quête de sagesse,

nous proclamons, nous, un Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens, mais pour ceux qui sont appelés, Juifs et Grecs, c'est le Christ, puissance de Dieu et sagesse de Dieu. Car ce qui est folie de Dieu est plus sage que les hommes, et ce qui est faiblesse de Dieu est plus fort que les hommes.

Aussi bien, frères, considérez votre appel : il n'y a pas beaucoup de sages selon la chair, pas beaucoup de puissants, pas beaucoup de gens bien nés.

Mais ce qu'il y a de fou dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi pour confondre les sages ; ce qu'il y a de faible dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi pour confondre ce qui est fort ;

 

Toujours les Païens et le culte des idoles

1P4: à 1P4:4
Il suffit bien en effet d'avoir accompli dans le passé la volonté des païens, en se prêtant aux débauches, aux passions, aux saouleries, orgies, beuveries, au culte illicite des idoles. A ce sujet, ils jugent étrange que vous ne couriez pas avec eux vers ce torrent de perdition, et ils se répandent en outrages.

 

Ac13:44
Le sabbat suivant, presque toute la ville s'assembla pour entendre la parole de Dieu. A la vue de cette foule, les Juifs furent remplis de jalousie, et ils répliquaient par des blasphèmes aux paroles de Paul. S'enhardissant alors, Paul et Barnabé déclarèrent : " C'était à vous d'abord qu'il fallait annoncer la parole de Dieu. Puisque vous la repoussez et ne vous jugez pas dignes de la vie éternelle, eh bien ! nous nous tournons vers les païens.

Car ainsi nous l'a ordonné le Seigneur : Je t'ai établi lumière des nations, pour que tu portes le salut jusqu'aux extrémités de la terre. " Tout joyeux à ces mots, les païens se mirent à glorifier la parole du Seigneur, et tous ceux-là embrassèrent la foi, qui étaient destinés à la vie éternelle.

Ainsi la parole du Seigneur se répandait dans toute la région.



24/12/2010
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