Notre-dame-de-lourde-créateur-francois-partie-01 et 2

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message de la sainte vierge du 10 octobre 2010


message de la sainte vierge du 10 octobre 2010

Oh mes Très Aimés, quelle Joie ! Quelle immense Joie de vous retrouver ! – bien que je ne vous aie jamais perdus – car je ne saurais vous perdre en aucun instant ni en aucune fraction d’instant, que ce soit de votre temps ou du temps qui est espace.

Goûtez la Lumière de nos présences réunies, car votre Lumière à présent existe de plein droit et votre Lumière et la mienne dans cet instant ne font qu’Un.

Goûtons ensemble cette Unité.

Je suis celle que vous nommez Mères des Mères, Marie-Isis-Eloha, tous ces noms étant des aspects et des formes de cette Unité, car je ne suis qu’Une par delà ces formes et ces vibrations inscrites dans les plans dimensionnels différents où je m’exprime et où parfois je stationne, et en lesquels j’agis et en lesquels je suis.

Je suis, moi, Mère des Mères, dans tous ces plans, et dans toutes ces formes, et dans tous ces noms sacrés ou intimes, en toutes ces vibrations, dans toutes ces familles : je suis… Et je m’adresse à vous en ce jour où la lune reprend son cycle, ce 10 octobre de vos calendriers terrestres. Bien que je n’aie pas parlé en ce canal depuis un certain temps, ne doutez pas un instant que je n’ai cessé d’être avec vous.

Je vous ai vu grandir et j’ai gardé le silence. Ainsi fait la mère qui observe les pas, et les essais et les réussites de son enfant, en lui laissant sa propre initiative et la joie qu’il peut avoir à goûter lui-même sa maturité naissante. Ainsi reconnaissez, mes Enfants très aimés, les pas que vous avez faits, la maturation qui est la vôtre, chacun, chacune, dans ce qu’il est ou dans ce qu’elle est, et par son propre chemin. Aucun de vous n’est semblable à son voisin ni à son frère, ou sœur. Dans cette Unité, chacun de vous est unique.

L’unité et l’unification n’impliquent pas l’abrasement de toute différence, mais l’unicité de chacun permet que la symphonie soit orchestrée dans toute la subtilité et la variété de ces notes, qui font la musique ineffable que vous entendez en votre cœur et de laquelle vous êtes – chacun, chacune – votre propre instrument. Dans la symphonie, certaines voix se taisent parfois pour écouter, pour s’intérioriser dans l’écoute et dans la présence, puis parfois, après un temps reprennent leur chant, leur note, avec un nouvel élan, avec une nouvelle beauté.

Ainsi, il est des cycles que vous traversez – cycles de changement de votre Lumière qui peut croître et décroître, du moins extérieurement, car elle ne s’éteint jamais, et ne cesse de renaître lorsqu’elle semble s’amenuiser et cheminer vers une possible extinction… C’est là qu’elle renaît : ce dont votre lune vous indique si bien et sans cesse la nature et l’existence dans ses cycles si harmonieux qui n’ont cessé de bercer vos jours et vos nuits, en dépit de tout ce qui a pu être occulté durant ces temps à présent achevés de la matrice qui vous a enfermés.

Mes enfants, mes Aimés, mes Très Aimés, je me réjouis de ce que les plis de mon manteau accueillent gracieusement, et subtilement, et magnifiquement un si grand nombre d’entre vous. Dans l’infinité de ce que j’appelle ainsi ces plis, se niche l’infinité des possibles qui vous sont offerts par l’infinité des formes de mon Amour. Chacun de vous ainsi a su trouver sa demeure lorsqu’il en avait besoin, et le pli de mon manteau qui vous accueille est absolument unique pour chacun. Je ne vous invite pas par là à rester cachés dans les plis de mon manteau, ne vous méprenez pas. Il s’agit simplement d’une demeure, d’un refuge, d’une sorte de nid d’Amour dans lequel vous savez qu’à tout instant vous avez accès, si le besoin vous y conduit.

Nous ne sommes pas séparés. Je vous garde, et vous me gardez.

A présent je vous invite à être au plein de ce que vous êtes. N’hésitez plus, ne craignez plus, abandonnez toutes les fausses prudences qui encore – par l’intermédiaire de votre mental conditionné par cette matrice qui n’existe plus qu’en illusion – vous retiennent d’être vous. Il n’y a plus à tergiverser. Tergiverser est un emprisonnement. Je vous invite à être libres. Être libres signifie simplement être : être dans l’unicité de ce que vous êtes chacun, et dans l’Unité de ce que tous ensemble vous composez.

Ce ne sont pas de vains mots, bien que vous les ayez déjà entendus. Beaucoup d’entre vous sont encore en train de tergiverser. Beaucoup d’entre vous encore hésitent, regardent autour d’eux pour savoir qui est avec eux, qui reste derrière, qui semble plus éloigné ou plus avancé : cela n’est pas le chemin. Seule votre propre intériorité doit vous guider. Il n’est nul exem ple autour de vous qui ait valeur de guidance, et sachez que le chemin de chacun lui appartient aussi. Ne vous attardez pas à observer le cheminement d’un autre ou des autres en vous interrogeant sur leur avancement, car le chemin de votre frère ou de votre sœur ne peut que vous échapper, même si vous partagez de tout votre cœur et de vos yeux grands ouverts votre Joie d’aller vers l’Unité, et d’y aller parfois ensemble.

Le chemin de chacun vers l’Unité est unique. Il n’y a pas, il n’y a plus à se modeler sur quiconque. Ceci n’est pas pour vous inviter à retrouver vos egos – ne vous méprenez pas – car ce chemin ne peut se faire que dans l’humilité et la simplicité, et la Joie pure qui en découle. Je ne vous invite pas à vous enfermer dans une forteresse personnelle qui refuserait d’écouter, de voir et d’accueillir la présence des autres : je vous invite simplement à être vous-mêmes.

De nombreuses voies actuellement vous sont proposées, permettant de structurer et d’éclairer votre chemin d’ascension. N’oubliez jamais qu’aucune de ces voies ne prédomine sur une autre, mais que simplement elles s’adressent à vos différences et à vos besoins. Ainsi, laissez-vous porter par la vague qui vous emporte et ne vous accrochez pas à la vague qui vous retient. Ne vous accrochez pas à la vague dans laquelle vous ne surnagez pas. Vous êtes la vague.

Je vous aime infiniment et je ne cesse jamais de me réjouir en mon cœur de chacun d’entre vous, pour chacun et chacune sans exception. Sachez que mon cœur est immense, et il n’y a pas d’encombrement dans mon cœur : chacun est reçu et aimé pour lui-même, avec tout l’espace, et l’attention, et l’Amour qui lui sont dévolus. Que celui ou celle qui se sentirait tout petit, et caché derrière les autres, sache que mon regard et mon cœur ne le voient ni tout petit ni caché, bien au contraire. Chacun de vous est un joyau et mon cœur s’élargit sans cesse de par l’immensité du nombre de ces joyaux qui l’illuminent.

Je vous aime à l’infini et je vous invite à magnifier votre chemin, à magnifier votre Être dans toutes ses Lumières. Abandonnez toute croyance que votre Lumière soit faible, ou que votre Lumière soit imparfaite, ou que tel ou tel aurait plus de Lumière que vous. Vous êtes Pleine Lumière. Tu es, toi et toi, Pleine Lumière, et c’est de cette Pleine Lumière que nous vivons. La Lumière est créée par nous tous, par vous tous, par tous les êtres qui peuplent les univers, et elle ne cesse de se créer à tout instant. Vous êtes, tu es, co-créateur de la Lumière, de par ta Lumière. Sache-le mon Enfant. Il n’est plus temps d’être en position de recevoir la Lumière extérieure. Tu la reçois, mais aussi tu la crées. Entendez cela, mes Enfants. Ne vous sentez pas comme des assistés des Peuples Célestes et des Forces Galactiques : vous êtes Pleine Lumière et vous êtes co-créateurs de ce qui se joue. Rien ne peut se faire sans vous; vous n’êtes pas là pour être libérés, vous êtes là pour vous libérer.

A présent que vous avez retrouvé toute votre Lumière, sachez l’utiliser. Elle n’est pas cachée derrière vous ni dans une valise. Cette Lumière est simplement la Lumière de votre cœur, la Lumière de votre Être, la Lumière de la Source qui existe en chacun de vous. Et par le filtre de ce que vous êtes chacun, dans votre unicité, cette Lumière qui est en vous et que vous émanez est la vôtre et vous la redonnez à la Lumière. Ainsi, sans arrêt, se co-crée la Lumière.

Au cours de mes interventions quotidiennes par la voie de ce canal telles qu’elles se sont déroulées en vos mois de juillet, août et septembre, je n’ai cessé de vous inviter à comprendre, à regarder et à être votre Lumière. Il n’y a pas d’autre but. Et la période de trois jours qui a clôturé ces interventions et qui vous a renvoyés – un peu brutalement pour certains – à votre obscurité intérieure, ou à certains aspects de votre obscurité intérieure, n’a pas eu d’autre but que de vous faire rencontrer votre véritable Lumière, à vous et à nul autre. Cela était le but.

Ainsi, aujourd’hui, en cette nouvelle lune, un nouveau cycle de lumière lunaire va se déployer. Ainsi, si vous le désirez et si cela peut vous aider, prenez exemple sur la lune pour déployer, travailler, faire chanter votre Lumière. Prenez exemple sur la vague du cycle lunaire pour être la vague de Lumière que vous êtes. La vague ne s’arrête jamais, la vague avance puis se repose, la vague participe du mouvement de l’océan de toutes les autres vagues qui ne s’arrête jamais, et qui est l’expression même de l’Unité.

Je vous bénis, mes Enfants, je vous aime, je vous chéris.

J’observe avec la plus grande Joie votre merveilleuse croissance d’Êtres de Lumière. N’hésitez pas à danser votre Lumière, n’hésitez pas à la chanter, n’hésitez pas à l’être. Que votre silence soit Lumière, que votre parole soit Lumière, que vos actes soient Lumière et que vos repos soient Lumière

 

Je vous retrouverai dans quelque temps par la voie de ce canal, dont à présent je me retire avec tout mon Amour.

Mes Enfants, je suis Mère des Mères à l’infini et dans la Grâce de votre présence. Amen



21/10/2010
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