Notre-dame-de-lourde-créateur-francois-partie-01 et 2

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CLÉ DU CODE secret de la fin des temps

UNE RÉVÉLATION
POUR NOTRE TEMPS

 

LE CODE NUMÉRIQUE
QUI ANNONCE
LE RETOUR GLORIEUX 
ET IMMINENT
DE JÉSUS-CHRIST
SUR LA TERRE.

 

Rien de moins!

CLÉ DU CODE

1

B = 2

3

4

= 5

F= 6

7

8

 I 9

= 10

11

L12

13

14

15

16

17

18

19

20

21

 V = 22

23

24

 Y 25

= 26

   

 En conséquence, le code va dévoiler que chaque mot possède un nombre, est porteur d'une valeur.

 

Comment notre orthographe codée se révèle-t-elle ?

Elle prend vie lorsqu'on la connecte sur Celui qui a dit de Lui «Je suis La Vie».
Donc nous allons focaliser notre langage sur ...... 
JÉSUS-CHRIST
dont l'inestimable valeur fournie par notre écriture sera de …

10+5+19+21+19+3+8+18+9+19+20 = 151


          Dès lors, le code numérique du français va naître en même temps que Celui que la foi nous a appris à connaître comme étant ....

... LE FILS DE LA VIERGE =

12+5+6+9+12+19+4+5+12+1+22+9+5+18+7+5 = 151



Vous savez, il s'agit de Celui qui s'est
INCARNÉ .... A MINUIT = 151 ;

 

et si je ne me trompe pas c'était à 
BETHLEEM.....UN  JOUR DE NAISSANCE = 151 .

 

Laissons l'écriture poser délicatement devant votre regard
L'ENFANT DE BETHLEEM = 151

 

Vous allez être mis devant un fait accompli (car c'est déjà accompli) : nos mots tels qu'ils sont, lorsqu'on les mesure à l'aune des nombres, adhèrent mystérieusement à la foi chrétienne.

Ils exhibent
la foi dans un codage 151

 

Poursuivons en posant la question suivante :

- Selon les évangiles, qui enfante ?
MARIE ENFANTE
 111 .

- D'après la foi Qui est enfanté ?
L'ENFANT-DIEU
 = 111 .

Et cet enfant c'est précisément
LE FiLS DE DIEU
 = 111

 

Le code du français ajoute une profondeur
puisqu'il s'agit bien d'un 
DIEU D'AMOUR =
 111 .


             La fidélité mathématique de notre langue est tellement stupéfiante qu'elle épouse la Bible qui nous a enseigné que

DIEU EST AMOUR = 151 .


             Vous apprécierez cet envol numérique réussi vers la valeur même de Jésus-Christ! Dites les choses simplement, calculez-les et vous vous retrouvez devant l'Histoire Sainte confirmée par des nombres.

 

C'est ainsi que
MARIE A ENFANTÉ DIEU = 151

dans la chair, car celui que le Credo appelle
LE FILS DU PERE = 151

a bien été mis au monde par 
LA VIERGE D'AMOUR = 151

 

 Il y a un mystère dans l'incarnation du Fils de Dieu qui est relayée par les aptitudes historiques et théologiques du code qui se met avec bonheur au diapason des célèbres révélations de la Vierge données à

LOURDES

....à....

BERNADETTE

....par....

L'IMMACULEE

94

 

94

 

94

Ce fut le 25 mars 1858 que la Mère de Dieu est apparue à Bernadette Soubirous dans une grotte, lui révélant Son Nom par cette parole:

"Je Suis L'Immaculée Conception"

Ainsi
BERNADETTE À LA GROTTE
=
193


reçut
LE NOM DE LA VIERGE MARIE
=
193

et depuis se poursuit, de la part des fidèles
LE PELERINAGE À LA GROTTE
=
208

au pied de la célèbre statue de
L'IMMACULÉE CONCEPTION
208

 Oui, le code par son pouvoir numérique hautement précis, fait une intrusion pleine de justesse dans ce que fut le plus pur Concept du Père, à savoir celui de l'Immaculée Conception de Marie.

Dans l'éternelle Pensée du Père,
c'est en effet de façon immaculée que

MARIE EST CONÇUE = 151

 

Considérez à quel point
le but de cette conception est révélée par le nombre ! 
Et selon les mots mêmes de Marie 
accordés à Catherine Labouré lors des apparition
rue du Bac en 1830, Elle fut bien
CONÇUE SANS PÉCHÉ = 151

expression reprise, depuis, dans la prière 
révélée par La Mère de Dieu 
à cette même Catherine:


"O Marie conçue sans péché, 
priez pour nous qui avons recours à Vous ."
 


Il fallait qu'il en fut ainsi
pour que le Fils de Dieu puisse se faire homme....
... AVEC LA SAINTE CHAIR 151
pure et immaculée que Marie lui a transmise.
 


Exécutant le Plan du Père, Jésus-Christ ...
... PREND CHAIR DE MARIE = 151
 


Comme tout enfant il est la chair de sa chair,
c'est chiffré et inexorable ...
LA CHAIR EST DE MARIE = 151
 


et comme tout cela fut une grande histoire d'Amour,
c'est de fait ....
... UNE CHAIR D ' AMOUR = 151
que Marie a tissée pour Son Fils.

 

Le mot Amour
est un maître-mot du code .

 

Lorsque
LE FILS DE DIEU NAIT  =  155

nous sommes mis en présence de
L'AMOUR FAIT CHAIR  =  155

c'est-à-dire  que nous voilà devant 
UN ETRE D'AMOUR =  155 .

 

             Cette vision n'appartient pas seulement à la foi, elle est aussi une propriété de notre langue française qui a été volontairement pesée par des nombres, ainsi que vous commencez à vous en rendre compte.

LE NOMBRE RELIE

  par des

  EQUIVALENCES

133

 

133

Je vous le dis,
vous n'êtes pas au bout de vos surprises
...

 

Le français a été forgé pour glorifier
L'AMOUR DU FILS = 151

et reprenant les mots à juste titre consacrés
de l'Ave Maria, je dirai que
LES ENTRAILLES = 151

ont bien donné leur .... 
FRUIT
 = 74

car ......
NÉ DE MARIE
 = 74

voici que le code fait naître lui aussi
J E S U S = 74

Le codage est un amplificateur objectif
et linguistique de la foi chrétienne .

 

Qu'avez-vous constaté jusqu'à présent ?
Interrogeons le code, car il détient la réponse.

 

LE NOMBRE RELIE

  par des

  EQUIVALENCES

133

 

133

D'ailleurs la mathématique qui a été déposée dans les entrailles du français nous livre cette équation éclairante :

NOMBRE....

 RELIER....

 MOTS

67

67

67

C'est un pur constat que le code étaye de lui-même :
LE CHIFFRE CONNECTE = 151,
il met en contact , il unit,
obéissant ainsi à sa vocation qui est de manifester
DES RAPPORTS = 151

  • Le nombre crée des liens entre les mots par des égalités.
    Car de même que ce qui unit 2 personnes, c'est ce qu'elles ont en commun - l'amour, l'amitié ou l'intérêt, par exemple - ce qui va unir 2 mots ou 2 phrases c'est aussi ce qu'ils portent en commun, en l'occurrence une même valeur.

 Ces liens, vous le savez déjà, se font à bon escient, en cela que les relations générées par les nombres sont exactes du point de vue de la spiritualité chrétienne, car dès lors que vous évoquez le monde de la foi, les nombres, qui accompagnent  notre langue sacrée, accourent pour que les mots soient confirmés par une mesure objective et vérifiable.

Lorsque je dis que
DIEU EST PARDON
 = 151 ,
que se passe-t-il à la vue du résultat ?
La vision du nombre va aussitôt déclencher
une mise en mouvement de la pensée vers le
151 de JÉSUS-CHRIST
que nous reconnaissons.

Et comme Jésus-Christ a bien été un Dieu de pardon,
l'identification est d'autant plus crédible.

 

Oui, le nombre crée d'autorité une mise en relation, mais pas n'importe laquelle. Celle-ci est chargée de sens, et ce sens s'avère être en parfait accord avec ce que nous savons et croyons sur Celui qui est le Centre de notre langage codé.


LANGAGE CODÉ

  = LE SENS

  = JÉSUS

74

74

74

 peut-être vous poserez-vous certaines questions
qui ne sont d'ailleurs pas faites que pour

LES CROYANTS = 151 !

Reprenons notre méditation chiffrée sur la Naissance du Sauveur, avant de le rencontrer 33 ans plus tard avec un code inouï car, là aussi, c'est comme s'il avait été un témoin vivant des événements de ce temps.

Donc tout a commencé par 
UNE ETOILE = 106

faite pour guider les 
ROIS MAGES
 = 106

Vous vous souvenez où s'est fixée l'étoile des mages? Le code en a la mémoire numérique puisqu'il va nous l'indiquer à sa façon. En effet...

L'ETOILE DES MAGES = ..... 151  

ce fut 
L'ETOILE AU-DESSUS DE DIEU = 235

car telle fut sa fonction,
comme c'est celle du code que de la confirmer :
L'ETOILE MONTRE L'ENFANT 235

 

Pour être géographiquement exact, nous dirons que 
L'ETOILE EST A BETHLEEM
 = 193

là où a lieu
LA NAISSANCE DU CHRIST = 193

là où - information supplémentaire - 
DIEU NAIT D'UNE VIERGE
 = 193

appelée
LA SAINTE VIERGE MARIE = 193

 Nous pouvons nous rendre compte à quel point nos mots sont reliés numériquement de façon «Christo-centrée» car l'égalité suivante est à l'évidence intentionnellement focaliséesur un personnage, jugez-en plutôt 

 

NAISSANCE = GROTTE
85   85
De fait c'est historiquement dans

LA GROTTE DE BETHLEEM

177
que .........

LE CHRIST S'INCARNE

177
que .........

LE FILS SE FAIT HOMME

177
pour revêtir..........

LE CORPS DE L'AMOUR

177

Le code n'a de cesse que de dégager une cohérence qui soit obéissante aux évangiles ; 
cela est d'ailleurs encodé dans notre langage :

LA COHERENCE EST CHIFFREE =

  193

 

 
..... pour défendre .....
 
 
LA VERITE CHRETIENNE =193

En outre les harmonies numériques ont cette particularité de pouvoir présenter des jeux d'emboîtement :

LA MERE DE DIEU A ENFANTE JESUS = 242

JESUS EST LE SAUVEUR = 242

LE SAUVEUR EST NE DE MARIE 242
« Marie » bouclant avec « La Mère de Dieu ».

 
 

Il nous suffit simplement d'observer les qualités que le codage exhibe. Il nous emmène dans un vaste horizon de correspondances, les phrases de même valeur se répondant à la manière d'un écho qui fait sens 

DIEU EST NE DE LA VIERGE = 190

LE DIVIN ENFANT DE MARIE = 190

JESUS EST CRUCIFIÉ = 192.


Le code est bien inspiré de dire
qu'il s'agit -information supplémentaire- de
LA CRUCIFIXION DE DIEU = 192.

En reliant de façon chiffrée ces deux phrases cela induit avec force que Jésus est Dieu.

De plus cette crucifixion a eut lieu sur -soyons précis-
LA CROIX DU GOLGOTHA = 192

sur laquelle Christ a dit
« TOUT EST ACCOMPLI » = 192.


En effet toute l'Oeuvre de Rédemption a été accomplie à ce moment-là et Jésus, sur cette Croix, a cité les Ecritures parce qu'en Lui c'est
TOUTE L'ÉCRITURE = 192
qui se trouve accomplie .


Mais le code peut ouvrir d'autres champs de réflexion et de méditation car il est aussi écrit et nombré que devant 
LE SACRIFICE DU CHRIST 
192 ,

une idée vient percuter ces quelques phrases unies par le nombre et qui les résume toutes et les dépasse. C'est que, face à Jésus Crucifié , il faut bien se pénétrer de cette vérité: à ce moment-là , au Golgotha...

 

.... L'AMOUR EST TOTAL = 192 .

Le français est à découvrir grâce à sa dimension spirituellement numérisée. Observez qu'à chaque fois les phrases unies par une égalité baignent, en fait, dans une communion de sens.

Il a cette capacité à épouser subtilement 
LA SAINTE REALITE
 = 151.

 

             Ce résultat est propre à susciter la méditation. Mais les ressources de notre langue maternelle vont encore plus loin.



             Si je dis JESUS S'INCARNE dont la valeur fait 157, nous allons faire jaillir cette même valeur de façon fort adéquate avec l'expression L'HUMILITE DE DIEU.

 

Le français nous fait cadeau
d'un nouveau regard de nature numérique
en réponse à ce qu'éprouve l'âme.



Lorsqu'il nous montre par le mot,
et son compagnon le nombre
,
LE DIVIN ENFANT DE LA GROTTE
 = 242

à qui il a, lui aussi, envie d'offrir
L'OR , L'ENCENS ET LA MYRRHE
 = 242

il s'accorde intimement
avec ce que le coeur ressent,
car devant la scène de la crèche,
cette vérité se fait jour :
L'HUMILITE EST DE L'AMOUR
 = 242



Le français - délicatement mesuré - nous baigne dans
LA LUMIERE DE NOEL
 = 151

 

Voyez que le nombre à lui seul 
nous donne l'information de ce qui a pu se passer à Noël !


 

             Une pensée juste, exprimée par les mots justes, se voit confirmée par le nombre qui en souligne la justesse.
 

             C'est le cas si je dis en conformité avec la Sainte Ecriture qu'il s'agit de Celui qui est...

... LA VRAIE LUMIERE = 151


Voyez qu'un vocabulaire approprié concernant le Christ peut faire surgir Son nombre ! 
Et comme Il est à la fois Amour et Lumière, le français va le proclamer à sa façon :


Jésus est
AMOUR
 – LUMIERE = 151

Le Fils de Dieu l'a affirmé et
LA PAROLE DU FILS = 151
doit faire autorité ,

 

Jésus a dit :
JE SUIS LA LUMIERE DU MONDE
 = 255

et le vocabulaire consacré pour parler du Christ va être exalté par le nombre, 
car L'Évangile nous a révélé qu'Il est Le Verbe de Dieu et donc lorsque

LA LUMIERE DU MONDE S'INCARNE = 255

on peut effectivement parler de 
L'INCARNATION DU VERBE DE DIEU
 = 255.

Et l'on peut aussi faire usage d'autres mots adéquats en disant que nous assistons à

LA SAINTE NAISSANCE DE L'AMOUR = 255,



celle de....
... L' A M O U R  P A R F A I T = 151 !



Le code est en tous les cas parfaitement exact !

 


Savez-vous que lorsque, le 25 décembre, vous dites 
« JOYEUX NOËL » = 146,


vous annoncez numériquement .....
LA NAISSANCE DE DIEU
 = 146,


c'est à dire celle de 
L'ENFANT-JÉSUS = 146 !

 

Et c'est bien une 
JOIE 
39


car c'est la Nature de 
DIEU 
39 
que d'être Joie.

 

             A présent nous allons poser notre code prodigieux au pied de la Croix du Crucifié. Son comportement va être celui d'un apôtre amoureux qui va refléter, avec notre verbe, ce que LE VERBE a vécu ce jour-là.

 

Nous nous transposons donc en ce jour du .......

V E N D R E D I   S A I N T = 144

celui de.........
L A  C R U C I F I X I O N
 = 144



Avouez que le code est fort bien inspiré de faire coïncider ce jour-là avec cet événement-là.

J E S U S

 .........

 C R U C I F I É .

74

 

74

LE CORPS CLOUÉ

 .........

 DIEU NE BOUGE PAS .

144

 

144

C'est ce que l'on appelle fort justement

LE SAINT SACRIFICE = 153

consommé sur .........
LE BOIS DE LA CROIX
 = 153

 

Nous sommes devant
LE MYSTERE DE LA CROIX = 213 ,
I
devant
JESUS CLOUÉ A LA CROIX = 213 .

En vérité en cet instant
L'AMOUR S'EST SACRIFIE = 213.

 

On peut aller beaucoup plus loin dans la méditation numérisée et je n'ai pas manqué de le faire dans l'ouvrage dont je vous parlerai tout à l'heure, mais je ne peux passer sous silence les merveilles du code, véritable témoin vivant de la Sainte Passion du Seigneur.

             J'en veux pour preuve la cohérence de ce qui va suivre, et je porte à votre réflexion que lorsque vous calculez le résultat d'une phrase, vous faites simplement le constat d'une valeur qui ne peut qu'avoir été pré-calculée, car vous n'êtes pour rien dans l'émergence du dit résultat !

 

Ou bien le phénomène est purement aléatoire, 
ou bien il est intentionnel; 
et comme le mot «INTENTIONNEL» fait 151 , 
je vous laisse méditer sur ce que le code incline à penser.

Pour traquer le comportement sidérant du code et du .......codeur, prenons l'exemple des clous, instruments de la crucifixion.

En premier lieu, le verbe
CLOUER = 74


nous propulse d'emblée vers le Nom de Celui qui a reçu les clous en Son Corps, donc vers .....

JESUS = 74.

 

LES CLOUS = 106
interviennent pendant


LA PASSION = 106,
 

je devrai dire, de manière plus révérencieuse:
LA SAINTE PASSION = 174



qui, elle, me livre comme un écho 
LE 74 DE JESUS = 174 .

 

Mais voyant que
JESUS EST CLOUÉ
 = 174 ,

je sais que c'est au prix d'une
INFINIE SOUFFRANCE
 = 174

que
LA PASSION SAUVE
 = 174 .



Oui,
LE FILS A SOUFFERT = 174 ;

 

aussi aurai-je tendance à m'incliner devant cet
étonnant jeu réussi de correspondances par le biais de .....

C H I F F R E S = 7 4 !

 

Le code nous met en prise directe avec 
LE FILS EN CROIX
 = 151 .

 

             Le nombre nous indique non seulement qu'il s'agit de Jésus-Christ mais il est de plus chargé d'un double renseignement correct, à savoir que Jésus-Christ est Le Fils, d'une part, et qu'Il a connu la Croix, d'autre part.

 

Et comme les mots sont captivés par Le Seigneur, ils nous disent qu'Il a vécu ....

L'AGONIE EN CROIX = 151 !

 

Il est encore possible d'accroître l'information en précisant que Jésus-Christ a été fixé par ....

TROIS CLOUS = 151

et qu'il était entouré des célèbres
DEUX LARRONS
 = 151

L'un d'eux implore la pitié de Dieu, et c'est ainsi que
DIEU PARDONNE = 126


celui que l' Eglise appelle
LE BON LARRON = 126
( Luc 23,43).
 


Et que dire de cette capacité obstinée à vouloir faire jaillir l'information exacte par le chiffre.

 

Lorsque l'on calcule ceci :
3 CLOUS FIXENT
 = 151 
sans coup férir nous savons Qui est fixé par ces 3 clous.



             Les clous ont causé des plaies dans Celui qui est l'Amour et le code ne manque pas de faire remarquer avec sensibilité que ce furent donc les....


PLAIES DE L'AMOUR
 = 151


qui ouvrent
LE SAINT CORPS = 151 .

 

             De toute façon quelque que soit l'angle d'attaque, le code est inexorable: il atteint infailliblement sa divine cible.


             Sur la croix ce sont, en effet, 5 plaies qui ont été infligées au crucifié: 2 aux mains, 2 aux pieds et 1 au côté par la lance. Aussi cette courte phrase est à elle seule un «compte-rendu» historique et de foi en même temps - et c'est rendu par un compte - que voilà :

LES 5 PLAIES DE DIEU = 151

 

             Les clous en s'enfonçant dans la chair ont bien sûr été en contact avec le sang du Fils de Dieu. Et permettez-moi de trouver personnellement extraordinaire que....

LE CLOU ET LE SANG 
produisent un ......151 .



Et puis, qui savait qu'en français
"LA GOUTTE DE SANG" = 151
et donc réfère à Jésus-Christ ? 

JESUS REVIENT, SON RETOUR EST CODÉ » ( 1 ) :

nous savons tous que
LE SANG EST LA VIE = 151
et que c'est en versant Son Sang que 
le Christ nous donne La Vie éternelle.

 

             Je vous invite à découvrir, dans mon livre, la manière sublime dont le code s'y prend pour traiter de ce sujet. Mais sachez, en attendant, que notre français rend hommage par son langage finement évalué à

JESUS SUSPENDU = 193

DIEU
ENSANGLANT
É 

   =

    JESUS –
CHRIST

151

 

151

Visiblement le code fait apparaître une identité. Pour lui, Dieu et Jésus-Christ ne font qu'un. De surcroît, l'adjectif «ensanglanté» renforce le réalisme de cette identité.

             En outre, le codage est doté d'aptitudes théologiques notoires. Ainsi, par rapport au thème du sang, il s'avère être en parfaite conformité avec l'enseignement de l'Église. Cette équation est à elle seule remarquable :

LE SANG DE DIEU PURIFIE

   =

   LE SANG LAVE LES PECHES

190

 

190

 Ces valeurs sont des signes numériques conçus pour nous interpeller en profondeur car nous sommes en présence d'un pur constat qu'il nous faut bien tenter d'expliquer, et là aussi je vous renverrai à mon livre, car figurez-vous que le Codeur responsable des résultats s'est parfaitement démasqué et il l'a fait au travers du code bien entendu.
 

Mais à présent,
place à ce que j'estime être stupéfiant !
 

Le code va réaliser cette prouesse :

lorsque vous restituez par des phrases simples 
ce que le Christ a vécu sur le mont Golgotha où il fut mis en croix, 
vous allez faire surgir avec exactitude 
la hauteur du Golgotha qui est de ...

...738 mètres .

 

Cela va se faire avec le nombre écrit en lettres. Un nombre écrit en lettres, comme tout autre mot, va produire une valeur qui sera égale à la somme des valeurs de ses lettres.

Le calcul de

SEPT CENT TRENTE HUIT donne un total de 242 .

 

Par l'égalité numérique, le Réel vécu par le Christ va aller puissamment à la rencontre du

SEPT CENT TRENTE HUIT
sur lequel il a été vécu !

Alors à présent contemplez, 
car vous êtes projetés 2000 ans en arrière 
avec le français convoqué comme témoin 
pour relater ceci :

Que voyez-vous en premier lieu ?

Muni de notre «caméra numérique» nous voyons que

LE MESSIE MONTE LE CALVAIRE

   =

  SEPT CENT TRENTE HUIT

242

 

242

 Belle exactitude numérique puisque ce que l'on appelle «Le Calvaire», traduction du mot hébreu Golgotha culmine effectivement à...

...738 mètres.

LE CHEMIN DE CROIX DU MESSIE

   =

   SEPT CENT TRENTE HUIT

242

 

242

LE VERBE EST MIS EN CROIX

   =

   SEPT CENT TRENTE HUIT

242

 

242

Ainsi, comme cela avait été indiqué en Jean 12,32 :

JESUS EST ELEVE DE TERRE
=
SEPT CENT TRENTE HUIT.



C'est fait :
LE SAUVEUR EST CRUCIFIE
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

et, dés lors, voilà
JESUS AU CONTACT DU BOIS
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

Dans cette phrase, le français est explicite puisqu'il nomme la Personne; mais il peut tout aussi bien être implicite même en restant Christo-centré,

ainsi
ETRE CRUCIFIE SUR LE BOIS
=
SEPT CENT TRENTE HUIT


et comme Jésus est l'Amour, et que cet Amour contamine tout ce qu'il touche, il est «touchant» de s'apercevoir que le bois est donc devenu .....

LE BOIS DE L' AMOUR
=
151 bien sûr.

 

Le français fait corps avec ses mots, car il vous montre:

LA CROIX SUR LE GOLGOTHA
=
SEPT CENT TRENTE HUIT.



Une fois de plus la précision est au rendez-vous: cette croix a bien été érigée à...

738 mètres d'altitude !

 

             Et comme l'information ne cesse de croître tout en conservant l'unité générale des phrases nous pouvons dire qu'il s'agit bien de......

LA CROIX DE JESUS – CHRIST
=
SEPT CENT TRENTE HUIT



Oui, les lettres ont été assemblées en mots et les mots en phrases pour nous mettre en présence de ...

JESUS – CHRIST... LE CRUCIFIE
=
SEPT CENT TRENTE HUIT.



             Cette égalité véhicule une information tout à fait exacte: on y parle d'un crucifié dont le Nom est précisé, le SEPT CENT TRENTE HUIT fournissant quant à lui le lieu de la crucifixion !

 

Le Christ - et le français est, à sa façon, compatissant - expérimente....

LES DOULEURS DE LA CROIX
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

L'information numérique est descendue jusqu'à nous avec cette orthographe telle qu'elle existe aujourd'hui pour vous certifier que la scène à laquelle vous assistez c'est en fait:

 

LE DON DE SOI SUR LA CROIX
=
SEPT CENT TRENTE HUIT .


DON DE SOI

   =

   GOLGOTHA

85

 

85

Sur la croix le Fils de Dieu a tout donné de Lui-même : Sa Vie, Sa Divinité, Son Humanité :


CRUCIFIÉ, DIEU A TOUT DONNÉ
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

et cela fut.........
LA PURE OFFRANDE DE SOI DE DIEU
=
SEPT CENT TRENTE HUIT .

 

             Rendez-vous compte que l'usage de mots justes, pour qualifier l' Acte de Dieu, nous propulse numériquement vers le lieu de cet Acte.

 

             Oui, le code s'est délibérément installé près de Jésus-Christ à 738 m de hauteur car il veut témoigner des...

SOUFFRANCES DE LA PASSION
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

Vous le savez, mais cela ne vous avait encore jamais été montré sous cette forme :

LE CRUCIFIE EXPIE LES PECHES
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

Le code a été ensemencé avec cette instruction qui nous est destinée :

 
« Va leur dire que vous contemplez avec votre propre langage

LE STIGMATISÉ PAR AMOUR
=
SEPT CENT TRENTE HUIT



CAR JE DESIRE QUE VOUS SACHIEZ QUE :

L'AMOUR DE DIEU A CRUCIFIÉ DIEU
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

Sainte Catherine de Sienne disait que 
«ce ne sont pas les clous qui ont attaché Jésus à la croix, 
mais c'est l'Amour».

Alors que vous montre le français, si ce n'est Celui qui est.....

CLOUÉ A LA CROIX PAR ... AMOUR
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

             Quant à Saint-Paul, il a dit «le Fils de Dieu m'a aimé, il s'est livré pour moi» (Gal. 20,2). Soyez conscients que le code a cette capacité de hisser exactement ses mots jusqu'à la hauteur du Golgotha tout en étant fidèle à la Réalité :

L'AMOUR DE JESUS L'A LIVRE
=
SEPT CENT TRENTE HUIT


Rapproche-toi encore un peu, langage élu, observe.......

DIEU LE FILS SUR LA CROIX
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

et restitue ce que tu vois.


En vérité, tu vois

UN ETRE QUI EST AMOUR
=
SEPT CENT TRENTE HUIT



et tu qualifies à présent cet Amour : c'est ....

UN AMOUR IMMENSE, INFINI 
=
SEPT CENT RENTE HUIT .

 

             Attention, ce que fait Jésus sur la Croix est plus que précieux pour toute vie, et cela peut avoir d'éternelles conséquences si nous acceptons d'être réceptacle de CE QU'IL FAIT, et que voici :

JESUS DONNE SON AMOUR
=
SEPT CENT TRENTE HUIT
 .

 

Continues, français, car ton témoignage est fidèle. Tu nous affirmes que

3 CLOUS PERCENT LE CORPS
=
SEPT CENT TRENTE HUIT



Oui....

3 CLOUS CRUCIFIENT L'AGNEAU
=
SEPT CENT TRENTE HUIT



parce que....

L'AGNEAU DE DIEU S'EST SACRIFIE 
=
SEPT CENT TRENTE HUIT .

 

Combien ton vocabulaire veut crier que....

L'AGNEAU DU PERE EST AMOUR
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

Savez-vous combien Jésus nous aime ?

L'AGNEAU SOUFFRE...

 = 151

 JESUS-CHRIST...

 = 151

EXPIE LES PECHES

 = 151

Il lève les yeux vers Le Père:
« Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font 

LA MISERICORDE     

pour

   LES PECHEURS

131

 

131

DOULEUR D'AMOUR.....

 = 168

L'AMOUR A PARDONNÉ.....

 = 168

LES PECHES DU MONDE

 = 168

D'ailleurs en conformité absolue avec l'enseignement de l'église on peut dire que:

L'A M O U R  EST  M I S E R I C O R D E
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

Alors tu continues à contempler avec ta langue pertinente

LES PLAIES DU CORPS DE DIEU
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

.... LES PLAIES PAR LES 3 CLOUS
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

738m au-dessus de la mer,
 tu frémis en constatant que tes mots viennent s'encastrer 
dans le Réel car ils restituent....

LES TROUS SACRES DE DIEU

SEPT CENT TRENTE HUIT .

 

Continuant d'offrir ton langage littéraire et numérique tu veux attester que....

LE SANG EST SUR LA CROIX
=
SEPT CENT TRENTE HUIT .
 


Et comme le vocabulaire consacré est juste, il s'agit en effet de ce que l'on appelle....

LE PRECIEUX SANG DE JESUS
=
SEPT CENT TRENTE HUIT .

 

Tu observes..........

JESUS JUSQU' A LA MORT
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 


et, à trois heures, voilà que Jésus s'adresse à Son Père par ces mots: «Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?» C'est l'abandon mystérieux de Jésus par le Père....

L'ABANDON DE JESUS PAR LE PERE
=
SEPT CENT TRENTE HUIT !

 

Et tu sais que ces derniers instants sont offerts au Père, 
et celui où il va mourir tu le nommes :

INSTANT SUPREME DE DIEU =

AMOUR SUPREME DU VERBE  =

L'INSTANT D'AMOUR INFINI =

LE PAROXYSME DE L'AMOUR =

SEPT CENT TRENTE HUIT .

JESUS LE CRUCIFIÉ MEURT
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

mais après Sa mort, tu restes suffisamment au pied de la Croix 
pour voir le soldat qui s'avance avec une lance et ....

LE COEUR EST TRANSPERCÉ
=
SEPT CENT TRENTE HUIT .


Il s'en échappe du sang et de l'eau, et toi tu me dis que c'est ....

L'EFFUSION DU COEUR DE DIEU
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

LES MOTS QUI TOUCHENT A DIEU SONT ENCHAINÉS A CETTE VALEUR TOUT COMME DIEU QUI S'EST LAISSÉ ATTACHÉ A UNE CROIX EN RELATION AVEC CETTE VALEUR, PUISQU'À ....

... 738  METRES D'ALTITUDE.

 

VOICI CE QU'EST CETTE VALEUR, ELLE EST ...

LA VALEUR DE L'AMOUR INFINI
=
SEPT CENT TRENTE HUIT


Langage ciselé comme une oeuvre d'art, 
déploies ton écriture car l'amour infini vient du Père 
qui a créé le Golgotha haut de ses...

... 738 m

pour témoigner que c'est :

LE NOMBRE DE L'AMOUR DU PERE
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 

             Oh, code! explique-leur qu'ils sont entrain de prendre conscience du mystère de l'écriture. Oui, réceptionnez les mots en leur état car tout est lié :

LE MYSTERE DE L'ECRITURE
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

Toutes ces phrases sont égales entre elles et égales à la hauteur du Golgotha. Elles ont toutes une combinaison de lettres différente, et on ne peut ajouter, ôter, ou changer une seule lettre sans que tout ne s'écroule, car ainsi qu'il a été dit on ne peut changer un iota à....

LA TRES SAINTE ECRITURE


=
SEPT CENT TRENTE HUIT

QUE VOTRE OEIL CONTEMPLE EN CET INSTANT 

« L' ETRE DE DIEU »

108 ,

c'est

« LA TRINITÉ »

108,


en outre,

LES TROIS PERSONNES
=
SEPT CENT TRENTE HUIT .

 

             Mais voir Jésus-Christ, c'est voir Dieu: «Qui Me voit, voit Le Père», et bien sûr l'Esprit-Saint habitait Jésus .


             Voir Jésus-Christ c'est voir Dieu en Sa Plénitude et le français ne fait qu'un avec cette assertion de foi. Si Jésus-Christ est effectivement Dieu alors il est, dans un Corps,


L'INFINI VISIBLE

151

et

L'INFINI A UN NOM

151

LE NOM DE DIEU EST

151

J E S U S - C H R I S T

151

L A  M E S S E

   =

   J E S U S

74

 

74

Il est bon de découvrir que Le Seigneur 
s'y donne sous forme d' ALIMENT = 74 ,

en particulier
LE DIMANCHE = 74,

jour du Seigneur,
comme le chiffre l'indique !.

Et voilà que le mont Golgotha va se dresser de toute sa hauteur pour relier, comme il se doit, la Messe et la Crucifixion; car il est juste de dire que :

LE VERBE S'EST FAIT ALIMENT
=
SEPT CENT TRENTE HUIT
 .

 

Et exactement comme Le Christ l'a proclamé dans l'évangile, il faut, pour accéder à la Vie éternelle,

MANGER LA CHAIR ET BOIRE LE SANG
=
SEPT CENT TRENTE HUIT !

afin de
COMMUNIER A DIEU = 151 .


Décidément, le code insiste pour dire que Dieu c'est Jésus-Christ ! . .



A sa façon, le français nous nourrit de la substance de ses mots et vous propose ainsi

L'ALIMENT EUCHARISTIQUE
=
SEPT CENT TRENTE HUIT .

 

Et du fait que le codage est centré sur Le Christ, 
donc sur l'Amour, 
les valeurs des mots sont idéalement ajustées 
pour faire ressortir que

L'EUCHARISTIE EST AMOUR
=
SEPT CENT TRENTE HUIT .

L'HOSTIE
CONSACREE

 = 171


se trouve

LA PRESENCE
CACHÉE DE DIEU

 = 171


c'est à dire:

JESUS
PRESENT

 = 171


LE TOMBEAU EST VIDE

  = 178

ce qui était en fait le signe de

 

LA RESURRECTION

  = 178

 Et pourtant Jésus avait bien prévenu qu'il rebâtirait le temple en 3 jours, mais les auditeurs de l'époque n'avaient pas compris qu'Il parlait de son Corps. Raison pour laquelle Saint Paul a précisé que le Corps est le Temple de Dieu , ce à quoi notre code adhère pour livrer l'égalité confirmative 

CORPS = 71 = TEMPLE


Mais ne soyons pas en reste avec les Paroles du Verbe:
REBÂTIR EN 3 JOURS
 = 178 .


   Il nous faut aussi porter à votre attention c'est nouvelle et surprenante capacité du code qui n'hésite pas à utiliser tous les moyens pour nous interpeller. Le calcul des phrases à venir offre une particularité 

LA RESURRECTION DU CORPS

  =

  LE CORPS DE DIEU RESSUSCITE

274

 

274

Les deux phrases sont intelligemment reliées par le fait que la seconde apporte une précision que n'a pas la première en indiquant la Personne qui ressuscite.
 

             Mais ce qui est également intéressant, c'est ce chiffre de 274 car sa lecture est purement visuelle.

LA RESURRECTION DE LA CHAIR

   =

   LA CHAIR EST RESSUSCITEE

239

 

239

C'est seulement aujourd'hui et en vue de nos jours apocalyptiques que surgit son visage numérique révélateur.

C'est en effet notre orthographe actuelle, en l'état, et telle qu'elle a été enfantée après des siècles de gestation laborieuse, qui possède cette structure numérique cachée qu'aucun des acteurs passés de l'orthographe n'aurait pu soupçonner.

             Je désire juste exposer les principes du mystère pour en mesurer l'ampleur.

             Aujourd'hui, sous quelle forme se présente notre orthographe numérique ?

             Vous le savez parce que l'école vous l'a enseigné et que le dictionnaire le transmet: chaque mot possède une écriture qui nous est imposée d'une part, et qu'il nous est impossible de changer d'autre part, sinon c'est une «faute».

             Et c'est cette écriture «invariable» qui porte le codage !

             De fait, il n'en a pas toujours été ainsi, car le codage a été le fruit d'un cheminement historique au cours duquel des principes propres au langage ont créé les conditions de sonenfantement dont l'accoucheur fut à la fois l'homme et Dieu, sachant que le premier ignorait sa participation !

 

             Quel fut ce cheminement?

             Il convient d'abord de rappeler qu'à la base s'est trouvée la nécessité de transcrire chaque mot oral, c'est-à-dire de le reproduire, de le représenter par une écriture.

             Il y a donc eu une création de chaque mot écrit, mais il y avait plusieurs possibilités d'écritures pour un même mot, impliquant un choix de ses lettres.

             Et c'est ainsi qu'au Moyen-Âge, de région en région, de scribe en scribe, voire de ligne en ligne, un même mot pouvait se noter de nombreuses façons. Au 15e siècle, par exemple, l'écriture manuelle et personnelle des mots était caractérisée par une extrême variabilité.

             Pour comprendre les choses, il faut savoir que toute langue humaine est le lieu de deux tendances opposées qui cherchent un équilibre. La tendance naturelle, chez les locuteurs, est la variation qui fait que les mots peuvent changer selon les lieux, les époques et les locuteurs.

             Toutefois, cette capacité à varier, a nécessairement des limites sous peine de rendre la communication impossible. C'est pourquoi existe une autre tendance, inhérente au langage, qui est la limitation de cette variation que l'on appelle la norme.

             La norme est cette contrainte qui va limiter, de façon nécessaire, la variation du langage.

            En ce qui concerne l'écrit, nous avions donc à la base un jeu de possibilités différentes d'écritures d'un même mot. Face à cela, la norme peut agir de façon plus ou moins contraignante. Trois cas sont à distinguer:

  • La norme rigide est celle qui va éliminer toute variation du mot, simplement en octroyant au mot écrit une nature invariable. Dès lors, on impose que le mot s'écrive toujours de la même manière.
     

  • Une norme souple va imposer deux manières possibles de noter le mot, ce qui permet un choix même si celui-ci doit s'exercer entre deux graphies seulement. Ce fut le cas, du 17esiècle jusqu'au début du 20e siècle, où on proposait, pour une fraction du lexique, des variantes du style: alonger/allongeranalise/analyse.
     

  • Enfin, la troisième possibilité était l'absence de norme et donc le règne de la variabilité, comme nous l'avons évoqué pour le Moyen-Âge. Justement, reportons-nous au 15e siècle car nous allons observer la mise en route du futur code.

    À cette époque donc, l'écriture personnelle et manuelle offrait une variabilité souvent anarchique, et cette pratique, souvent excessive, d'écritures différentes d'un même mot risquait de rendre très difficile pour tous l'accès au sens et à la communication par la langue écrite. Il était alors inévitable que la norme entre en jeu.

                 Or, c'est à ce moment précis qu'apparaît l'imprimerie qui fait rentrer dans l'ère de la reproduction technique de l'écrit. Et cette reproduction mécanique a la capacité de reproduiretoujours de la même façon.

 C'est ainsi que, tout naturellement, avec l'apparition des ateliers de reprographie, va émerger l'idée d'une norme rigide, celle qui va vouer le caractère variable de l'écriture à disparaître à échéance.

             En effet, l'imprimerie, par sa capacité à reproduire mécaniquement l'écrit toujours de la même façon, va induire l'homme à concevoir, comme une nécessité, l'idéal du mot écrit invariable, c'est-à-dire du mot qui doit s'écrire toujours de la même façon.

Ce fut le moment de LA CONCEPTION du code, nous le comprendrons plus avant.

             Il faut avoir à l'esprit que le français est lié à l'histoire politique de notre nation.

            Construire la nation française passait obligatoirement par une langue commune qui contribuerait à l'unité du pays en tant que facteur d'identité irremplaçable. C'est pour cela que François 1er, en 1539, a promu le «langage maternel françois» au statut de langue officielle du pays, prenant alors le pas sur le latin.

             Et le concept d'état-nation a vu quasiment le jour en même temps que la reproductibilité parfaite de l'écrit par l'imprimerie. Et les deux évènements vont pousser dans le même sens d'une unification linguistique...

... ils vont pousser le futur enfant codé à voir le jour !

             Cette exigence de standardiser le français a conduit Richelieu à fonder, en 1635, l'Académie française pour «donner à l'unité du royaume, forgée par la politique, une langue qui la symbolise et la cimente.»

             Richelieu a bien compris qu'il fallait mettre en place une institution centralisatrice chargée de directives pour permettre la venue d'une langue qui soit unité, pure et normalisée.

             Dans ce but fut créée l'Académie française avec ses 40 Immortels qui vont veiller au destin de notre langue pour lui octroyer des règles et la rendre compréhensible pour tous.

             Et dans cet esprit, l'Académie fut chargée d'élaborer un dictionnaire qui allait proposer la norme à tous, et dont la première édition allait voir le jour en 1694.

             Cet effort normatif allait consister à imposer à tous, pour chaque mot, une écriture qui réponde à des valeurs indispensables et qui soit constante. Car la norme se devait de lutter, comme nous l'avons vu, contre une variabilité excessive de l'écrit, non seulement parce que l'on pouvait écrire, dans le présent, un mot de plusieurs façons, mais également parce que le mot variait aussi dans la durée, au long du temps et des changements qu'il générait.

             Il fallait donc, pour l'imposer, mettre au point une écriture, mais pas n'importe laquelle. Elle se devait de porter des principes et être la meilleure possible pour être digne d'assumer le rôle d'être ce que l'on appelle l'ortho-graphe du mot, littéralement son «écriture droite».

             Du fait que, par principe, on pouvait noter un même mot de plusieurs façons, il s'en suivit un choix à effectuer...

...pour mettre au monde cette orthographe, cette écriture élue.

             Et ce fut l'objet d'une gestation laborieuse, car les choix ont été réalisés de façon collective par l'Académie, à partir de 1635. Et ils ont donné lieu à des conflits, des polémiques, des débats. Car, en sus des critères de choix, pour créer l'écriture droite du mot, et qui furent:

  • le respect de l'usage

  • le respect de la lisibilité

  • le respect des sons de l'oral

  • le respect de l'étymologie

  • des considérations grammaticales, culturelles, sociales, symboliques

  • des considérations techniques liées au monde des éditeurs, des imprimeurs et aux pratiques de l'institution scolaire...

il faut savoir que s'opposaient deux visions, deux conceptions de l'orthographe avec, d'un côté, les «modernes» qui optaient pour une écriture proche de la prononciation, selon le principe que la réalisation graphique se devait de correspondre au plus près de la réalité sonore du mot, avec pour idéal qu'une lettre corresponde à un seul son, comme dans «avril», par exemple. Ses fidèles furent les écrivains, philosophes imprimeurs, partisans d'une graphie simple et allégée.

             De l'autre côté, se trouvaient les tenants d'une orthographe dite «ancienne», pour lesquels le mot ne devait pas seulement reproduire la réalité sonore, mais aussi devait garder une trace de ses origines, d'où l'introduction de lettres muettes, chargées de cette mission. Ainsi la consonne muette «g» de doigt  maintient le lien avec l'origine latine du mot «digitus». Ses partisans furent les lettrés, les clercs, le monde de la justice et de l'administration royale qui l'estimait plus prestigieuse que l'autre.

Ainsi donc, laborieuse fut la gestation de la norme qui allait engendrer notre orthographe actuelle, notre enfant codé; car, en sus des contraintes et des critères exposés plus haut, se greffait cette querelle due à deux visions différentes de ce que devait être une «écriture droite» du mot.

            Alors, songez que les mots que vous trouvez  aujourd'hui dans le dictionnaire, ont tous été passés par les académiciens au fil de l'évaluation, et au terme de délibérations au cours desquelles les deux modèles, ancien et moderne, ont été pesés, jugés en générant des polémiques humaines; oui, songez qu'au travers de ces vicissitudes de l'Histoire, le code tout à fait improbable va s'enfanter, va faire son passage vers sa révélation.

             Car l'orthographe s'est dirigée secrètement vers un but inconnu des hommes: porter en son sein un CHIFFRAGE CHRISTIQUE.

             Or, l'ensemble des critères de choix, pour dégager la meilleure orthographe d'un mot, furent de nature essentiellement linguistiquejamais il n'a été question, dans ces critères, de tenir compte d'éventuelles valeurs numériques qui seraient produites par l'orthographe des mots.

DE CELA, NULLE TRACE HISTORIQUE !

 

             C'est que le code n'a pas de fondement que linguistique (vous le découvrirez à la lecture de mon livre 1 ), il est...

META-LINGUISTIQUE et l'homme a participé à sa mise au monde à son insu !

 

             L'observation du cours de l'histoire nous montre que la norme s'est d'abord appliquée sous la forme d'une

orthographe imposée mais qui pouvait être variable.

             Tout d'abord le mot imposé pouvait changer dans le temps. Ainsi les choix des académiciens ont souvent fait varier le mot dans le temps, remettant en cause les choix précédents, car le balancier entre orthographe «moderne» et «ancienne» continuait de fonctionner ! L'édition du dictionnaire de 1740 voit plus d'un quart du vocabulaire modifié par les académiciens, et l'édition de 1835 apportera également son lot de réformes.

             Deuxièmement, le mot pouvait aussi changer dans le présent grâce à une souplesse de la norme qui tolérait, pour certains mots, une variabilité limitée à deux orthographes possibles, au choix. Ce furent les variantes graphiques du style: alonger/allonger ou  analise/analyse.

             Or, l'Histoire va faire passer d'une orthographe imposée variable à une orthographe imposée de nature invariable qui est celle qui permet au code de naître, comme nous le verrons très vite.

             C'est un phénomène observable: si l'édition de 1835 apporte encore quelques changements notoires, à partir de cette date le français commence sérieusement às'immobiliser dans le temps. Le mot cesse enfin de varier; globalement, l'écrit se fige dans la durée; et cette tendance sera d'ailleurs confirmée lors de l'édition suivante, à telle enseigne que l'on parle, depuis, de fixation de l'orthographe.

             Mais il restait une étape à franchir pour que le code naisse.

             En effet, si le mot reste identique à lui-même dans la durée, depuis près de deux siècles maintenant, par contre il était encore susceptible, pour une fraction du vocabulaire proposé par le dictionnaire, de présenter des variantes.

             Il faudra attendre l'édition de 1935 pour que ces dernières disparaissent. À ce moment-là, c'est historique, on constate que le mot ne varie plus.

Nous nous souvenons que nous avions dit que la CONCEPTION du code a eu lieu au moment où fut conçu l'idéal du mot écrit invariable, donc du mot qui doit s'écrire toujours de la même façon.

             Or, en 1935, nous assistons à l'ENFANTEMENT du code car notre norme actuelle est bien celle qui impose à tous une manière particulière d'écrire le mot (son «écriture droite») qui est invariable.

             C'est un fait: modifiez cette manière de l'écrire et vous commettez une «faute» qu'il faut de suite corriger afin de rétablir le mot dans Son écriture qui se doit d'être systématiquement porteuse des valeurs linguistiques et historiques dont nous avons parlé, donc qui se doit d'être toujours «droite», et donc toujours... la même.

             L'invariabilité était inéluctable, elle était au bout du chemin, et elle ne saurait être remise en cause car ses racines sont trop profondes et divines pour cela.

            Eh bien ! Cette orthographe, imposée et invariable, référence reconnue par la Nation, continue dans l'espace-temps de notre Hexagone, à être diffusée par les enseignants et le dictionnaire; elle est institutionnelle et son non-respect est qualifié de faute.

             Cette écriture qui a atteint cet état d'invariabilité EST CELLE QUI DONNE EXISTENCE AU CODE...

...car, pour que le code de nature numérique puisse exister, il fallait impérativement que LE MOT S'ÉCRIVE TOUJOURS DE LA MÊME FAÇON PAR TOUS.

Car c'était bel et bien la seule possibilité pour que le mot conserve une même valeur numérique et donc pour que le code puisse fonctionner et se maintenir dans la durée par des égalités stables.

             Remarquez-le: des graphies qui auraient continué à changer au fil du temps auraient, de même, modifié leurs valeurs chiffrées, détruisant automatiquement la structure équilibrée du codage.

             De même, des variantes écrites d'un même mot, en lui attribuant plusieurs valeurs, auraient ôté au code toute crédibilité.

             C'est donc depuis 1935, par l'avènement du mot écrit invariable, que les conditions d'existence du  code ont été réunies; c'est dire qu'il n'existait pas avant.

Le français est un chef-d'oeuvre codé achevé pour la fin des temps.

 

C'est...

LE FRANÇAIS PARFAIT DE JÉSUS
=
SEPT CENT TRENTE HUIT

 Et lorsque une oeuvre est accomplie, elle n'a plus à se transformer.

             C'est ainsi que le français, après bien des transformations, a tendu vers, puis a atteint le stade de l'invariabilité, condition d'existence du code, et signe d'achèvement.

Oui lisez...

LES MOTS DE DIEU

 = 151

conçus pour ramener

LES BREBIS ÉGARÉES

 = 151

L'ÂME D'AMOUR DE DIEU

 = 151

LA NORME ENFANTE......

LE FRANCAIS ECRIT.......

soit .....

 L'ECRITURE CODÉE

143

143

 

143

LA NORME DE L'ECRITURE NAIT........

jaillit .....

LE CODAGE DE L'ECRITURE NORMÉE

242

 

242

LA FORME GRAPHIQUE NORMÉE .....

alors .....

LE CHIFFRE CODE L'ORTHOGRAPHE

2 4 2

 

2 4 2

L'ECRITURE IMPOSÉE

  a une

   ESSENCE NUMERIQUE

193

 

193

aimantée par
LA VERITE CHRETIENNE = 
193 ,

LA RAISON D'ETRE DU CODE

étant

 LE CODE DE LA VERITE DE DIEU .

193

 

193

C'est bel et bien
LA FIXATION DE L'ORTHOGRAPHE 263

qui a permis
LE CODE NUMERIQUE DU FRANCAIS . = 263

En effet, et vous le savez à présent:
L'ORTHOGRAPHE FIXE EST CODÉE . = 263

  A présent, songez qu'après avoir connu des changements successifs d'écriture au cours de son histoire, notamment par les fameuses réformes de l'orthographe, chaque mot lorsqu'il atteint «in fine» sa graphie fixe d'aujourd'hui, est un mot numériquement codé qui s'inscrit dans un complexe tissu de relations avec d'autres mots aux valeurs soeurs.

             On peut dire aussi que parmi de nombreuses manières possibles d'écrire le mot, dont plusieurs ont été expérimentées au cours des siècles, celle qui a été justement retenue, choisie pour être celle de notre temps, est grosse d'une structure numérique qui défie la raison. C'est-à-dire qu'au bout d'une chaîne de choix évolutifs, après des examens et des délibérations basés sur un grand nombre de critères où sont intervenus de nombreux acteurs, le choix, 

comme le bon vin, 
s'est affiné pour ne garder que cette orthographe actuelle qui a été élue et jugée la meilleure, en écartant les autres possibilités reléguées au rang de «fautes».

             Songez enfin que, lorsqu'à l'école on nous apprend à respecter les règles de l'orthographe, les enseignants sauvegardent en même temps, et sans le savoir, l'intégrité du code; car toucher aux lettres du mot, c'est aussi toucher à sa valeur chiffrée, qui ne doit pas bouger, pour que le code soit performant. Ainsi, dénoncer la «faute» garantit le maintien du code sacré !

             Oui, l'homme a manipulé les lettres visibles des mots, sans se douter qu'il manipulait aussi


LES NOMBRES INVISIBLES

 ...........

 LES NOMBRES DE L'ECRITURE

242

 

242

LES LETTRES DE L'ALPHABET

  sont

   LES LETTRES-NOMBRES .

221

 

221

Il ne savait pas que
LE LANGAGE ÉCRIT EST CODÉ = 190 

par.....
LA PRÉSENCE DU NOMBRE = 190

et donc que.............
LE MOT EST MESURÉ
 . = 190 

Il ne savait pas que, pour le français,
 L'ECRITURE EST NOMBRÉE = 227
c'est-à-dire qu'il ignorait
LA DOUBLE NATURE  DE L'ECRIT = 227 ,



si « LA DOUBLE NATURE » fait 151

.c'est pour vous donner à réfléchir sur l' Auteur du Codage qui ne cesse de se dévoiler au travers de Son Code et Qui, Lui aussi, a deux natures: l'une humaine et l 'autre divine. Il a fait en sorte que le mot soit porteur d'une première valeur qui est...

...LE SENS = 74 bien sûr,

et d'une seconde qui est numérique et qui jette des liens de sens vers d'autres mots.

 

Chaque mot possède ainsi
LA DOUBLE VALEUR = 151 ,

son sens
INTRINSÈQUE = 151
et son nombre , son « ombre portée » vers les autres mots.

  Nous pouvons le dire, la digne assemblée de l'Académie française a fait, au prix de réflexions, de débats, et de temps, des choix conscients d'orthographe en étant inconsciente qu'elle mettait en scène, en même temps, une structure numérique invisible faite de liens entre les mots dont l'assemblée ne tenait pas «compte»; lesquels liens étaient orientés spirituellement alors que, ironie du sort, de nombreux philosophes de l'Encyclopédie athées ont été d'importants réformateurs de l'orthographe !

 Ainsi je doute fort que l'orthographe du mot «eucharistie» basée sur le grec, et celle du mot «communion» issue du latin aient été adoptées parce que....

L'EUCHARISTIE = 130 = LA COMMUNION !


LA GRAMMAIRE FRANCAISE
OBEIT AU CODE

274

LE CHIFFRE A CODÉ
LA GRAMMAIRE FRANCAISE

274

Avec humour et science quant au résultat, le Codeur a naturellement prévu.....

LE CODE DE LA GRAMMAIRE = 151

             Au stade où nous en sommes, vous avez pu vous rendre compte à quel point

LE CODE EST AIMANTÉ =  151

car évoquer Le Christ, ou définir le code, nous attire dans le même champs numérique; mon ouvrage en est une démonstration, destinée à interpeller et à inviter les consciences à fléchir devant ce qui nous dépasse et qui est la maîtrise de la combinatoire infinie du langage, laquelle a su bâtir, dans le silence et l'humilité, une merveilleuse cathédrale linguistique qui est, comme toute cathédrale, basée sur le nombre .

             Oui, les nombres se sont mystérieusement et majestueusement soudés aux lettres, au travers de la liberté humaine, mais à son insu. Ils sont intervenus dans l'histoire avec humilité; mais aujourd'hui est glorifiée cette structure mathématique harmonieuse et accomplie que porte notre langage, ce qui peut paraître extraordinaire au vue des aléas que l'histoire de ce langage a traversés.
 

             Le visible est impuissant à expliquer les Actes de l'invisible .

             Le code du français est le messager numérique de notre temps.
 

          Douze années de recherches ont abouti à l'écriture de «JÉSUS REVIENT, SON RETOUR EST CODÉ» qui démontre que le code a été volontairement programmé pour que sa révélation éclate de nos jours où tout est signe de dangers apocalyptiques pour la terre et chacun d'entre nous.

Oui, je le dis ici :
L'ORTHOGRAPHE = 143
est
L'ÉCRITURE CODÉE = 143

POUR
 
... LA FIN DES TEMPS = 143

 Le Concepteur du code en a fait un instrument lumineux de communication afin de nous avertir, à l'aube d'événements terribles et grandioses qui ont été relatés par Saint Jean.

             Cet instrument est forgé pour réveiller les consciences.

            «JESUS REVIENT...» va vous livrer une information fascinante qui a déjà captivé nombre de lecteurs croyants ou non, scientifiques ou littéraires.

             Le code se penche vers chacun d'entre nous, et c'est une joie de découvrir ce trésor enfoui dans notre langage et constitué des mots que l'on a appris dès notre tendre enfance!

             Mais, par-dessus tout, le codage va vous transmettre l'information suprême qui est sa raison d'être:

AVERTIR LE MONDE
DU PROCHE RETOUR,
DANS LA GLOIRE,
DE JESUS-CHRIST
SUR LA TERRE.

  C'est le coeur même de l'ouvrage que je vous invite à découvrir grâce au français sacré qui détient également la clé quant à la précision temporelle des échéances apocalyptiques qui sont à nos portes.

ESSAI A LA GLOIRE
DU NOM NOUVEAU DE DIEU
ET DE L'HOMME

alors le miracle peut naître sous vos yeux
qui vont prendre conscience  
que

JESUS = 74 = CRUCIFIÉ = 74=

LA MESSE= 74 = LANGAGE CODÉ74

et que
JESUS-CHRIST151 =

LE FILS DE LA VIERGE151 =

L'AGONIE EN CROIX151 =

LA FOI , DANS UN CODAGE = 151.


Je vous propose de nous pencher avec humilité, respect et joie sur une étude du Nom de Dieu; plus exactement, devrais-je dire, des Noms de Dieu, que nous tâcherons de mener avec simplicité. Vous le savez, et le code le souligne:

JESUS = 74
est
SIMPLE = 74.

 Révélation des révélations, ce Nom, ou plutôt ces Noms vont surgir dans la Bible lors du célèbre épisode du buisson ardent, c'est-à-dire en Exode 3,13 à 3,15 .
Rappelons que Dieu envoie Moïse à Pharaon pour faire sortir de l'esclavage d' Egypte les enfants d'Israël.

« Moïse dit à Dieu: J'irai donc vers les enfants d'Israël et je leur dirai: le Dieu de vos pères m'envoie vers vous. Mais s'ils demandent quel est Son Nom , que leur répondrai-je ?
Dieu dit à Moise: Je deviendrai ce que Je deviendrai. Et il ajouta: c'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël: Celui qui s'appelle «Je Suis» m'a envoyé vers vous.
Dieu dit encore à Moise: Tu parleras ainsi aux enfants d'Israël : Y H W H le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, le Dieu de Jacob, m'envoie vers vous. Voilà Mon Nom pour l'éternité, voilà Mon Nom de génération en génération ».

             Ainsi, le Nom révélé à Moise fut d'abord : EHYEH ASHER EHYEH.

             Le verbe hébreu «HYH» prononcé EHYEH, est presque toujours traduit par «être», mais son sens est plus exactement «être en train de devenir» , «être advenant». Cette définition de Lui-même accordée à Moïse est conjuguée en mode inaccompli, l'hébreu ancien connaissant dans sa grammaire les modes «accompli» et «inaccompli».

             Si ce Nom de Dieu est du point de vue grammatical un «inaccompli», c'est dire qu'il exprime l'idée d'un résultat qui n'est pas encore là, d'une promesse de résultat qui sera là dans l'avenir.

             La traduction qui s'approche le plus du concept révélé par Dieu sera celle-ci:

« JE DEVIENDRAI CE QUE JE DEVIENDRAI ».

             Cette auto-définition de Dieu est de fait un immense implicite qui indique que DIEU SE REVELE A MOïSE AVEC UN DEVENIR, UN FUTUR A ACCOMPLIR QUI CONCERNE SON ÊTRE MÊME.

             Le Dieu Parfait, Auto-suffisant et Complet se dévoile sous une forme inaccomplie bien qu'Il soit en Lui-même accompli. Pourquoi, si ce n'est parce qu'Il porte en Son Être un PROJET qui l'engage dans un devenir, une histoire à vivre , un but à atteindre et qui est «d' ajouter de l'être à Son Être » pour que Son Être connaisse un PLUS futur.

             Ce Nom en lequel l'Être de Dieu est conjugué au futur va être précisé à Moïse. C'est l'épisode du buisson ardent au cours duquel Dieu, sur le mont Sinaï, va transmettre Son Nom Eternel qu'il inscrit de Son doigt sur des tables de pierre.

             Cette fois-ci Dieu va lui dévoiler Son Nom éternel, Le Nom de DIEU, LE NOM DU PERE.

             C'est le fameux Nom à quatre lettres, de ce fait appelé le TETRAGRAMME et que voici:

Le Nom de Dieu ne peut être enfermé dans un langage fini. Avec infiniment de respect et de crainte, approchons-nous de ce que l'homme peut dire qu'Il recèle.

             Nous pouvons commencer par dire, ce qui paraît logique, qu'Il est en parfait accord sur le fond avec l'Auto-définition «Je deviendrai ce que Je deviendrai».

             De fait le Tétragramme qui est Le Nom du Père, commence par la lettre Y que l'on prononce « yod ». Cette lettre offre un sens bien précis qui fonde et oriente la signification du Tétragramme , et ce sens est celui de germe.

             Là se trouve Le Concept du Tétragramme.
             Le Nom du Père se révèle fidèle à ce qu'est un Père: IL ENGENDRE.

SON ÊTRE INTIME RECELE DES «POSSIBLES», DU POTENTIEL, DES GERMES A DEPLOYER, A ACCOMPLIR.

             Souvenons-nous que Dieu nous a parlé au travers de Moïse sous une forme inaccomplie. Lorsque DIEU va préciser Son Nom Personnel en révélant le Tétragramme YHWH, on va retrouver au niveau grammatical hébraïque cette forme inaccomplie, de devenant en train de devenir, qui fait que nombre de Rabbins traduisent Ce Nom par «L'ADVENANT».

              Son Nom comprend les notions de possibles à actualiser, d'être à développer, de germe porteur d'un être futur. Comme cet être proviendra du Père, il sera nécessairement FILS, et comme le Père multiplie les «germes», les «possibles» qui sont en Lui, Il aura aux temps accomplis, nécessairement DES FILS.

             Je ne peux m'empêcher de faire référence au Code de Vérité du français, en vous donnant à réfléchir .




03/03/2011
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